MARCHER, METTRE SON CORPS À L'OEUVRE, EXPÉRIMENTER,
APPRÉHENDER DIFFÉREMMENT LA LUMIÈRE,
LA COULEUR, LE SON, L'ESPACE ET SON PROPRE CORPS,
MODIFIER SA PERCEPTION VISUELLE ET SON ÉTAT PSYCHOLOGIQUE,
ÊTRE DANS L'INSTANT PRÉSENT, CONTEMPLER, MÉDITER
APPRÉHENDER DIFFÉREMMENT LA LUMIÈRE,
LA COULEUR, LE SON, L'ESPACE ET SON PROPRE CORPS,
MODIFIER SA PERCEPTION VISUELLE ET SON ÉTAT PSYCHOLOGIQUE,
ÊTRE DANS L'INSTANT PRÉSENT, CONTEMPLER, MÉDITER
- LA MONTE YOUNG (né en 1935, compositeur) et ZAZEELA Marian (née en 1940, plasticienne), Dream House, 1962-1990,
acquise en 1990 par le FNAC et installée depuis 1999 à Lyon, MAC : interaction entre musique (création générée en temps réel par un synthétiseur) et lumière (deux installations lumineuses et deux sculptures dont une en néon)
La musique fait réagir de manière infime les mobiles suspendus conçus par Marian Zazeela. Pour l’auditeur, il s’agit de s’immerger littéralement dans le son pour en percevoir les nuances, une expérience invitant à la méditation, à être autant à l’écoute de soi qu’à l’écoute des sons. À l’intérieur de cet espace de plus de 500 m2 baigné de lumière et de musique vibrantes, le visiteur vit des sensations inédites et une expérience incroyable de la durée, chacun pouvant y trouver sa place en s’asseyant ou en déambulant à son rythme tout en appréciant les modulations sonores provoquées par ses propres mouvements, aussi infimes soient-ils.
VOIR UNE VIDÉO DE "DREAM HOUSE" AU MAC LYON
- CRUZ-DIEZ Carlos (né en 1923), Chromosaturation du rouge et du bleu, 1965/2009,
bois stratifié, plexiglas, métal, tubes fluorescents, Lyon, MAC,
acquise en 1990 par le FNAC et installée depuis 1999 à Lyon, MAC : interaction entre musique (création générée en temps réel par un synthétiseur) et lumière (deux installations lumineuses et deux sculptures dont une en néon)
La musique fait réagir de manière infime les mobiles suspendus conçus par Marian Zazeela. Pour l’auditeur, il s’agit de s’immerger littéralement dans le son pour en percevoir les nuances, une expérience invitant à la méditation, à être autant à l’écoute de soi qu’à l’écoute des sons. À l’intérieur de cet espace de plus de 500 m2 baigné de lumière et de musique vibrantes, le visiteur vit des sensations inédites et une expérience incroyable de la durée, chacun pouvant y trouver sa place en s’asseyant ou en déambulant à son rythme tout en appréciant les modulations sonores provoquées par ses propres mouvements, aussi infimes soient-ils.
VOIR UNE VIDÉO DE "DREAM HOUSE" AU MAC LYON
- CRUZ-DIEZ Carlos (né en 1923), Chromosaturation du rouge et du bleu, 1965/2009,
bois stratifié, plexiglas, métal, tubes fluorescents, Lyon, MAC,
la Chromosaturation est un environnement artificiel (Paris, 1965) composé de trois chambres de couleur, une rouge, une verte et une bleue, qui submergent le visiteur dans une situation monochrome absolue. Cette expérience trouble la rétine, habituée à percevoir simultanément d’amples gammes de couleur.
VOIR UNE VIDÉO
- WHEELER Douglas (né en 1939), Untitled, 1969/2014,
acrylique moulé sous vide, laque vaporisée sur acrylique, transformateur électronique et néon UV blanc,
l'artiste réalise des Light Encasements, une vingtaine d’oeuvres créées à partir de feuilles
de plastique moulées sous vide et intégrant des néons ; celles-ci s’installent dans des espaces entièrement blancs dont tous les angles ont été incurvés, afin de donner la sensation de se
dématérialiser, les spectateurs étant incapables de fixer leurs yeux sur n'importe quelle surface.
- WHEELER Douglas (né en 1939), SA MI DW SM 2 75, 1975,
lumière ultraviolette et quartz-halogène sur un variateur,
réalisation de son premier Infinity Environment dans lequel l’intensité lumineuse varie graduellement et simule le passage de l’aube à la nuit dans un cycle continu, faisant disparaître l'architecture et rendant la lumière presque palpable.
VOIR UNE VIDÉO
- FLAVIN Dan (1933-1996), Alternating Pink and Gold, 1967,
les sculptures lumineuses de l'artiste jouent du nombre, de la taille, de la couleur et de la disposition de néons. L'oeuvre fusionne avec l'espace du lieu qu'elle transforme (zones d'ombres et de lumières) et multiplie les expériences perceptives du spectateur qui s'y déplace.
VOIR UNE VIDÉO, "CORNERS, BARRIERS AND CORRIDORS"les sculptures lumineuses de l'artiste jouent du nombre, de la taille, de la couleur et de la disposition de néons. L'oeuvre fusionne avec l'espace du lieu qu'elle transforme (zones d'ombres et de lumières) et multiplie les expériences perceptives du spectateur qui s'y déplace.
- WHEELER Douglas (né en 1939), Untitled, 1969/2014,
acrylique moulé sous vide, laque vaporisée sur acrylique, transformateur électronique et néon UV blanc,
l'artiste réalise des Light Encasements, une vingtaine d’oeuvres créées à partir de feuilles
de plastique moulées sous vide et intégrant des néons ; celles-ci s’installent dans des espaces entièrement blancs dont tous les angles ont été incurvés, afin de donner la sensation de se
dématérialiser, les spectateurs étant incapables de fixer leurs yeux sur n'importe quelle surface.
- WHEELER Douglas (né en 1939), SA MI DW SM 2 75, 1975,
lumière ultraviolette et quartz-halogène sur un variateur,
réalisation de son premier Infinity Environment dans lequel l’intensité lumineuse varie graduellement et simule le passage de l’aube à la nuit dans un cycle continu, faisant disparaître l'architecture et rendant la lumière presque palpable.
- TURRELL James (né en 1943), Mendota Stoppages, 1969-74,
Ocean Park (Californie), Hôtel Mendota,
James Turrell réalise des installations in situ, des sculptures de lumière dans des pièces où il vide totalement l’espace, obstrue les ouvertures et procède à de fines découpes dans les murs, afin de contrôler l’entrée de la lumière.
- McCALL Anthony (né en 1946), Line describing a cone, 1973,
Film cinématographique 16 mm noir et blanc, silencieux,
projection cinématographique dans une salle totalement noire, enfumée, dépourvue de sièges et d'écran ; le projecteur doit être visible.
Dimensions de l'espace : Profondeur : entre 9 et 17 mètres, hauteur de l'image : entre 2 et 3,50 mètres
hauteur entre le sol et la base de l'image : 30 cm.
Durant une trentaine de minutes le film réalisé sans caméra (image par image) montre la formation d’un cercle tracé à la gouache blanche au moyen d’un stylo à bille et d’un compas ; c’est aussi un film-sculpture destiné à être projeté non dans un cinéma mais dans un espace d’exposition clos, homogène, déhiérarchisé (ni gradins, ni séparation entre la cabine et la salle, ni écran) et dans lequel un fumigène est diffusé permettant au faisceau lumineux de dessiner un cône quasi matériel dans lequel évolue le spectateur.
VOIR UNE VIDÉO DE "LINE DESCRIBING A CONE", 1973
- NAUMAN Bruce (né en 1941), Green Light Corridor, 1970
Wallboard and green fluorescent light, 3 m x 12.2 m x 30.5 cm)
New York, Solomon R. Guggenheim Museum.
Dans sa série des "Corridors", l'artiste impose ici au spectateur un environnement symétrique étroit, contrôlé et mortifère où la lumière vive due à des tubes fluorescents et le silence profond jouent un rôle important.
- NAUMAN Bruce (né en 1941), Natural Light, Blue Light Room, 1971/20016,
Blain/Southern London,
deux sources de lumière opposées définissent l'espace, une lumière bleue artificielle, fluorescente et zénithale du côté gauche, et une lumière naturelle changeante s'infiltrant au bas de la cloison du côté droit, la perception du spectateur est troublée par ce mélange de lumière .
Blain/Southern London,
deux sources de lumière opposées définissent l'espace, une lumière bleue artificielle, fluorescente et zénithale du côté gauche, et une lumière naturelle changeante s'infiltrant au bas de la cloison du côté droit, la perception du spectateur est troublée par ce mélange de lumière .
- LÉVÊQUE CLAUDE (né en 1953), J’ai rêvé d’un autre monde, 2001/2014,
néon rouge surélevé, machine à brouillard, diffusion sonore, grondement infra basse, Prison Sainte-Anne, 2014,
parcours des dans lieux clos et souvent souterrains.
- LÉVÊQUE CLAUDE (né en 1953), Le bleu de l'œil, 2015,
dispositif in situ, Musée Soulages, Rodez,
entrée rabaissée, transformation de l'espace d'exposition en prisme triangulaire, partie haute des cloisons découpée
et rétro-éclairée en orange pour former une ligne d'horizon au soleil couchant, lignes de néon bleu en zig-zag,
l'artiste est "intéressé par la sensation qui doit être à la fois physique et mentale. Je me demande comment est-ce que je peux jouer
avec l'espace et le transformer au moyen de la couleur, de la lumière et de ce genre d'interférences".
VOIR UNE VIDÉO
- JANSSENS Ann Veronica (née en 1956), Blue, Red and Yellow, 2001,
Berlin, terrasse de la Neue Nationale Galerie, pavillon de 9x4,5x3,5 m, parois translucides couvertes de films transparents colorés,
brouillard dense et coloré,
brouillard dense et coloré,
le spectateur évolue dans une abstraction colorée dématérialisée.
- HÖLLER Carsten (né en 1961), Light Corner, 2001,
sur des cloisons, des centaines d'ampoules à l'allumage agressif
désorientent le spectateur et créent, par leur programmation, l'illusion d'un retournement de l'espace
VOIR UNE VIDÉO DE "LIGHT CORNER", 2001
VOIR UNE VIDÉO DE "DOUBLE LIGHT CORNER", 2011
sur des cloisons, des centaines d'ampoules à l'allumage agressif
désorientent le spectateur et créent, par leur programmation, l'illusion d'un retournement de l'espace
VOIR UNE VIDÉO DE "LIGHT CORNER", 2001
VOIR UNE VIDÉO DE "DOUBLE LIGHT CORNER", 2011
- HÖLLER Carsten (né en 1961), Y, Biennale de Venise, 2003,
960 ampoules, aluminium, bois, câbles, circuits électroniques, enseignes lumineuses, miroirs; installation totale: env. 1300 x 850 x 320 cm
c’est un couloir en forme de Y, encerclé par une spirale continue d’ampoules clignotantes. Les lumières blanches clignotent dans une séquence qui donne l’impression d’un courant électrique se déplaçant à travers la spirale, éclairant une ampoule après l’autre. La structure fixe est comme mise en rotation dans un sens horaire ou antihoraire, selon le sens de la séquence de la lumière. Comme une tornade horizontale, Y aspire le spectateur dans sa voie de passage tourbillonnante. Chaque branche dans l’Y conduit soit à une impasse, ce qui oblige les téléspectateurs à revenir sur leurs pas, soit à un miroir
VOIR UNE VIDÉO DE "Y"
- ARMLEDER John (né en 1948), Volte III, 2004,
néons blancs, 350x800 cm. Zurich, Galerie Andrea Caratsch,
mur de néons verticaux blancs qui s’allument un à un jusqu’à faire un rectangle éclatant et s’éteignent en balayant l’espace, lumière aveuglante interrompue soudain par la pénombre.
VOIR UNE VIDÉO
- AZIZ+CUCHER ((AZIZ Anthony, né en 1961 et CUCHER Sammy, né en 1958) Synaptic Bliss : Vilette, Paris, 2004,
installation vidéo à 4 canaux avec son surround, boucle de 16 minutes, dimensions variables.
L'installation visuelle (vidéos) et sonore (bruits, musiques) reconstitue un techno-jardin immersif de bien-être constitué de 4 panneaux pour les 4 saisons. Les vidéos sont constituées du défilement et de la fusion d'images numériques fixes (nocturnes, paysages et détails) retouchées, colorisées et animées. Il y a volonté d'un jeu intérieur-extérieur, d'une part avec ce jardin dans une pièce, ces panneaux ouverts avec projection recto-verso et le jeu paysages grandioses et microscopiques mais également par la volonté de fusion du corps du spectateur dans l'oeuvre.
- TURREL James (né en 1943), Bridget's Bardo, 2008/2010,
The Wolfsburg Project, Wolfsburg, Kustmuseum, 2010,
"Ganzfeld " (mot allemand pour décrire le phénomène de la perte totale de la perception de la profondeur) est dû à une construction creuse divisée en deux chambres d'interconnexion - l'espace de visionnement et l'espace de détection - toutes les deux laissées entièrement vides. Ce qui est nouveau dans cette installation, c'est qu'elle est lentement inondée de lumière colorée changeante. Les visiteurs sont invités à pénétrer dans l'œuvre par une rampe abrupte qui descend de l'étage supérieur dans l'espace de visionnement, en expérimentant comment les éléments architecturaux de l'espace se dissolvent dans ce champ visuel homogène. tandis que le bain de lumière révèle et ne se réfère à rien au-delà de lui-même. les qualités de surface interagissent avec celles de la couleur et de l'espace, créant une atmosphère qui enveloppe le spectateur. Turrell décrit cela comme «sentir avec vos yeux», une expérience qui n'est pas seulement esthétique, mais aussi spirituelle.
fibre de verre, acier et néon, Los Angeles County Museum of Art,
expérience individuelle (payante) de 12 minutes, couché dans la chambre/machine sphérique, écouteurs aux oreilles, d'une douche de lumière (et de son), douce (variations colorées produisant un flottement dans l'infini) ou dure (éclairs et effets stroboscopiques rythmés et agressifs), modifiant votre perception et vous donnant le sentiment de ressentir la lumière.
VOIR UNE VIDÉO
- ELIASSON Olafur (né en 1967), 360 Degree Room For All Colours, 2002,
acier inoxydable, feuille de projection, bois, unité de contrôle, 320 x 815 815 cm,
sculpture lumineuse dans laquelle les participants perdent le sens de l'espace et de la perspective et se laissent submerger par une lumière intense, immergés dans un panorama aux variations lumineuses.
VOIR UNE VIDÉO
acier inoxydable, feuille de projection, bois, unité de contrôle, 320 x 815 815 cm,
sculpture lumineuse dans laquelle les participants perdent le sens de l'espace et de la perspective et se laissent submerger par une lumière intense, immergés dans un panorama aux variations lumineuses.
VOIR UNE VIDÉO
- ELIASSON Olafur (né en 1967), The Weather Project, 2003,
Londres, Turbine Hall de la Tate Modern, lampes mono-fréquence, feuille de projection, machines de brume, feuille de miroir, aluminium, échafaudages, 26,7x 22,3x 155,4 m,
un demi-soleil artificiel irradie tout l'espace et se reflète dans le plafond couvert de miroirs (ciel), alors qu'une brume est diffusée partout, modifiant la lumière de son halo. Pour le spectateur, il s'agit tout à la fois de vivre un moment naturel reconstitué (représentation du lever ou coucher de soleil) mais d'en ressentir également les émotions (expérience physique et mentale), le hall devenant un immense terrain de jeu (reflets dans les miroirs miroirs) et de méditation (immersion dans la lumière ne permettant que la vision en jaune et noir).
L'installation in situ fait également écho à l'ancienne affectation de l'endroit (salle des turbines d'une usine électrique) ainsi qu'au "brouillard londonien".
VOIR UNE VIDÉO
VOIR UNE VIDÉO DE "REALITY MACHINES", 2015Londres, Turbine Hall de la Tate Modern, lampes mono-fréquence, feuille de projection, machines de brume, feuille de miroir, aluminium, échafaudages, 26,7x 22,3x 155,4 m,
un demi-soleil artificiel irradie tout l'espace et se reflète dans le plafond couvert de miroirs (ciel), alors qu'une brume est diffusée partout, modifiant la lumière de son halo. Pour le spectateur, il s'agit tout à la fois de vivre un moment naturel reconstitué (représentation du lever ou coucher de soleil) mais d'en ressentir également les émotions (expérience physique et mentale), le hall devenant un immense terrain de jeu (reflets dans les miroirs miroirs) et de méditation (immersion dans la lumière ne permettant que la vision en jaune et noir).
L'installation in situ fait également écho à l'ancienne affectation de l'endroit (salle des turbines d'une usine électrique) ainsi qu'au "brouillard londonien".
VOIR UNE VIDÉO
- ELIASSON Olafur (né en 1967), Your Rainbow Panorama, 2006-2011,
Cette oeuvre pérenne est située sur la terrasse du Aros Kunstmuseum à Aarhus, Danemark. Elle est constituée d'un couloir vitré permettant un panorama à 360° sur la ville mais au-travers de vitres teintées qui déclinent toutes les nuances du cercle chromatique.
- ELIASSON Olafur (né en 1967), Reality mosaic, 2018,
Acier inoxydable, peinture (noir), verre coloré, ampoule, 202 x 190 x 190 cm,
environnement dynamique de formes et de couleurs.
Acier inoxydable, peinture (noir), verre coloré, ampoule, 202 x 190 x 190 cm,
environnement dynamique de formes et de couleurs.
- BUREN Daniel (né en 1938), Color, Rythm, Transparency - The Simple Frieze, 2007,
filtres de vinyle coloré, miroirs,
Exposition, "The Eye of the Storm", New York, Salomon R. Guggenheim Museum,
les couleurs et les reflets redéfinissent l'architecture du musée et permettent un parcours coloré dédoublé portant la marque de l'artiste (rayures de 8,5 cm de large).
- BUREN Daniel (né en 1938), Excentrique(s), Monumenta, Grand Palais, 2012,
travail in situ en écho aux verrières du Grand Palais,
parcours sous des disques en verre de quatre couleurs placés à 3 m de hauteur sur 1500 poteaux de 8,7cm, peints en noir et blanc, et au centre, placés sur le sol neuf miroirs ronds qui reflètent d’autres lumières et offrent une autre vision du bâtiment.
Des micros intégrés diffusent, dans différentes langues, des petits textes conçus par l’artiste et ils créent ainsi une sorte de forêt enchantée à parcourir.
travail in situ en écho aux verrières du Grand Palais,
parcours sous des disques en verre de quatre couleurs placés à 3 m de hauteur sur 1500 poteaux de 8,7cm, peints en noir et blanc, et au centre, placés sur le sol neuf miroirs ronds qui reflètent d’autres lumières et offrent une autre vision du bâtiment.
Des micros intégrés diffusent, dans différentes langues, des petits textes conçus par l’artiste et ils créent ainsi une sorte de forêt enchantée à parcourir.
- RAHM Philippe (né en 1967), Double Installation, 2013,
une double installation lumineuse qui interagit avec la santé du corps.
VOIR UNE VIDÉO DE "DOUBLE INSTALLATION"
- KUSAMA Yayoi (née en 1929), Infinity Mirrored Room,
The Souls of Millions of Light Years Away, 2013
bois, métal, miroirs, plastique, acrylique, caoutchouc et système d'éclairage à LED,
l'environnement se compose d'un cube lambrissé de miroirs etde centaines de lumières LED multicolores suspendues à différentes hauteurs qui pulsent à différentes vitesses et modèles. Le scintillent et l'extinction des lumières dans un effet stroboscopique, produit une illumination intense de l'espace et un motif répétitif de réflexions qui suggèrent l'infini et finalement invoquent des concepts de vie et de mort, permettant un moment de contemplation et de méditation.
Le visiteur devient partie intégrante de ce travail car son corps active l'environnement tout en disparaissant simultanément dans l'espace infini.
The Souls of Millions of Light Years Away, 2013
bois, métal, miroirs, plastique, acrylique, caoutchouc et système d'éclairage à LED,
l'environnement se compose d'un cube lambrissé de miroirs etde centaines de lumières LED multicolores suspendues à différentes hauteurs qui pulsent à différentes vitesses et modèles. Le scintillent et l'extinction des lumières dans un effet stroboscopique, produit une illumination intense de l'espace et un motif répétitif de réflexions qui suggèrent l'infini et finalement invoquent des concepts de vie et de mort, permettant un moment de contemplation et de méditation.
Le visiteur devient partie intégrante de ce travail car son corps active l'environnement tout en disparaissant simultanément dans l'espace infini.
SUR L'IMPLICATION DU SPECTATEUR, VOIR ÉGALEMENT