- SHAW Jeffrey (né en 1944), The Legible City, 1989-91,
installation vidéo interactive
(le spectateur en pédalant avance et choisit son parcours dans les rues d'une ville virtuelle
projetée sur écran, calquée sur le plan d'une ville réelle mais faite de lettres de l'alphabet).
VOIR UNE VIDÉO DE L'INSTALLATION
VOIR UNE VIDÉO DE L'INSTALLATION
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : IMAGE (PAYSAGE/VOYAGE) - LUMIÈRE - MOUVEMENT (IMAGE/SPECTATEUR) -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - PROJECTION - OEUVRE INTERACTIVE - ABSENCE DE TRANSPARENCE, DE SON -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - PROJECTION - OEUVRE INTERACTIVE - ABSENCE DE TRANSPARENCE, DE SON -
- BUSTAMANTE Jean-Marc (né en 1952), Lumière 12.91 (Classe), 1991,
sérigraphie sur plexiglas sur supports métalliques, 110x185 cm,
photo noir et blanc sur transparent projetant une ombre dédoublant l'image sur le mur.
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : IMAGE - LUMIÈRE - TRANSPARENCE - PERSPECTIVE -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : PHOTOGRAPHIE - INSTALLATION - OMBRES PORTÉES - ABSENCE DE SON -
- NAM JUNE PAIK (1932-2006), Olympe de Gouges, 1989,
12 postes de télévision en bois, 12 moniteurs couleurs, 1 lecteur vidéodisque laser, vidéos travaillées au synthétiseur avec distorsions, tissu, fleurs en tissus, 300 x 200 x 50 cm, Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris.
Commande de la Ville de Paris à l’occasion du Bicentenaire de la Révolution de 1789. L'artiste va réaliser cinq installations représentant des personnes ayant existé et se faisant reconnaître par un élément précis : Olympes de Gouges, femme de Lettres, féministe et révolutionnaire (soie bleu blanc rouge), Voltaire (plume trempant dans un encrier et un sabre symbolisant le polémiste), Rousseau (du feuillage pour marquer l’homme amoureux de la nature), Robespierre (scie tâchée de rouge faisant référence à la guillotine), Diderot (volumes de l’Encyclopédie).
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE - IMAGE - LUMIÈRE - MOUVEMENT - SON ?
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - VIDÉO - JUXTAPOSITION D'IMAGES MULTIPLES -
- NAM JUNE PAIK (1932-2006), Electronic Superhighway: Continental U.S., Alaska, Hawaii, 1995,
installation vidéo à 51 canaux (y compris un circuit de télévision en circuit fermé), électronique personnalisée, éclairage au néon,
acier et bois, couleur, son, env. 12x4x1 m, Smithsonian American Art Museum.
acier et bois, couleur, son, env. 12x4x1 m, Smithsonian American Art Museum.
L’immense réseau autoroutier symbolise une certaine idée de la liberté américaine. L’œuvre Electronic Superhighway représente la sensation du jeune artiste coréen quand il arrive sur le continent américain. Les Néons évoquent les enseignes multicolores et tentatrices des motels et restaurants au bord de la route. La multitude d’images clignotantes défilent comme le paysage vu d’une voiture qui fonce à travers la nuit. La structure faite d’écrans suggèrent que le mythe de l’Amérique s’est construite sur son cinéma.
- VIOLA Bill (né en 1951), The Sleepers, 1992,
installation vidéographique (7 barils de métal, 7 vidéogrammes, 7 moniteurs de surveillance noir et blanc, 7 lecteurs de DVD et 385 gallons d’eau, 524 x 584 cm)(dimensions variables selon l’espace de présentation), Montréal, Musée d’Art Contemporain,
Cette installation vidéographique consiste en sept barils remplis d'eau contenant un moniteur fixé au fond dans un caisson étanche en métal, scellé par une plaque de verre trempé. Chaque moniteur joue en boucle une vidéo de 30 minutes qui présente le visage d'un dormeur (seul, sous l’eau, endormi), à chaque fois différent, de l’enfance à l’agonie, filmé en temps réel. Seule la lumière bleutée des moniteurs noir et blanc éclaire la salle d’exposition.
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE - IMAGE - LUMIÈRE - MOUVEMENT (IMAGE - SPECTATEUR) - TRANSPARENCE (EAU) -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - VIDÉO -
- VIOLA Bill (né en 1951), The Veiling, 1995,
2 projections vidéo couleur depuis les extrémités opposées d’une grande salle obscure, à travers 9 longs voiles translucides suspendus au plafond, son mono amplifié sur 2 canaux, 4 haut-parleurs.
Dans une salle obscure, un homme et une femme s’approchent et s’éloignent lentement de la caméra sur fond de divers paysages nocturnes, leur image coexistant et perdant en intensité au travers des couches de voile qui révèlent, à l’inverse, le cône de lumière des deux projecteurs.
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - VIDÉO - SUPERPOSITION D'IMAGES -
- VIOLA Bill (né en 1951), Catherine's Room, 2001,
polyptique vidéo en couleur de 18 mn 39, projeté sur 5 écrans LCD plats fixés sur un mur, formant en semble de 38,10x246,40x5,70 cm.
Ce travail vidéo fait partie d'un groupe d’œuvres connues sous le nom «Les Passions» qui explore les émotions humaines, inspirées par des peintures de dévotion européennes. Les cinq écrans montrent différents moments de la journée - le matin, l'après-midi, le coucher du soleil, le soir et la nuit. Chaque scène montre le personnage féminin (Weba Garretson) à une tâche différente, des exercices de yoga le matin, grâce à l'éclairage des bougies dans la soirée et enfin le coucher. Dans chaque scène, l'arbre en dehors de la fenêtre est affiché à différents stades de son cycle annuel (et éternel), en mettant la routine de la femme dans le contexte plus large des cycles de la nature. Le travail est basé sur les images et les scènes (frontalité, cadre architectural) de la prédelle (partie basse d’un retable - tableau d’autel - montrant Sainte-Catherine de Sienne priant) du retable d’Andrea di Bartolo, Sainte-Catherine de Sienne et Quatre Sœurs du Tiers-Ordre Dominicain, 1393-1394.
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - VIDÉO - ABSENCE DE TRANSPARENCE - DE SON - JUXTAPOSITION D'IMAGES MULTIPLES -
- VIOLA Bill (né en 1951), Going forth by day, 2002,
5 parties de chacune 35 mn (installation sur 5 canaux vidéo haute définition couleur, son stéréo, dans une pièce de 5,20x24,17x8,25 m).
Le spectateur entre dans la pièce au travers de la lumière de la première image (brasier du revers du mur d’entrée) et se retrouve au centre d’une projection visuelle (et sonore) directement sur tous les murs (comme les fresques de la Renaissance italienne) ; 5 séquences sont ainsi regroupées sous la traduction littérale du titre du Livre des Morts égyptien, livre « pour sortir au jour », guide de l’âme libérée des ténèbres du corps : à gauche, des passants (type américains), dans un parc boisé, avec sac à dos ou leur objet préféré vaquent à leurs occupations (sur un format horizontal très étiré) et déposent parfois près d’une borne rouge leur objet à un disciple de Bouddha (comme au Japon) ; au fond, une façade d’immeuble devant laquelle passent puis courent les passants est l’objet du Déluge qui emporte les corps ; à droite, la première vidéo offre deux scènes, avec en haut un ange gardien qui accompagne un fils qui veut voir son père mourant mais n’arrive pas à entrer dans la maison (« fresque de lumière » reprenant L’Apparition de l’ange à Sainte Anne, vers 1305, fresque de Giotto de La Chapelle Scrovegni de Padoue), et en bas, une femme âgée fantomatique qui embarque sur un lac pour le paradis ; la dernière vidéo, First Light, montre des pompiers affairés à la suite d’une inondation dans le désert où une mère scrute l’étendue d’eau en quête de son fils disparu puis l’ascension au ciel du noyé devant les sauveteurs endormis (type Résurrection du Christ).
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - VIDÉO - ABSENCE DE TRANSPARENCE - JUXTAPOSITION D'IMAGES MULTIPLES -
- HATOUM Mona (née en 1952), Corps étranger, 1994,
Installation mixte, 1 DVD' Pal, couleur, son, structure cylindrique en bois composée de deux doubles parois, 1 écran circulaire blanc, 1 vidéoprojecteur, 1 lecteur DVD, 1 amplificateur, 4 haut-parleurs "Hyper Basse", 1 salle obscure (10m x 10m) minimum, Paris, MNAM.
En créant un espace propre au visionnage d’une œuvre, l’artiste crée des conditions de réception qui influent sur la perception. Ainsi, la Libanaise Mona Hatoum invite le spectateur à entrer par deux portes étroites dans un petit espace cylindrique, où une image est projetée au sol. Coincé contre le mur, il voit à ses pieds un travelling à l'intérieur et sur la surface du corps de l'artiste — image par essence invisible. L’intimité extrême des images fait du spectateur un voyeur. Le Corps étranger est non seulement la caméra endoscopique mais aussi le spectateur présent dans cet espace. Le corps devient objet non seulement pour la médecine mais aussi pour le public.
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE (PIÈCE) - IMAGE - PARCOURS - LUMIÈRE - MOUVEMENT (IMAGE - SPECTATEUR) - SON -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - VIDÉO - ABSENCE DE TRANSPARENCE -
- HATOUM Mona (née en 1952), Homebound, 2000,
ustensiles de cuisine, meubles, fil électrique, ampoules, gradateur, amplificateur et deux haut-parleurs, dimensions variables
Les travaux de Mona Hatoum explorent les thèmes de la maison et du déplacement à travers la perspective de l'exil palestinien, en utilisant des objets domestiques communs qui, en y regardant de plus près, révèlent souvent des qualités menaçantes.
Installation mixte, 1 DVD' Pal, couleur, son, structure cylindrique en bois composée de deux doubles parois, 1 écran circulaire blanc, 1 vidéoprojecteur, 1 lecteur DVD, 1 amplificateur, 4 haut-parleurs "Hyper Basse", 1 salle obscure (10m x 10m) minimum, Paris, MNAM.
En créant un espace propre au visionnage d’une œuvre, l’artiste crée des conditions de réception qui influent sur la perception. Ainsi, la Libanaise Mona Hatoum invite le spectateur à entrer par deux portes étroites dans un petit espace cylindrique, où une image est projetée au sol. Coincé contre le mur, il voit à ses pieds un travelling à l'intérieur et sur la surface du corps de l'artiste — image par essence invisible. L’intimité extrême des images fait du spectateur un voyeur. Le Corps étranger est non seulement la caméra endoscopique mais aussi le spectateur présent dans cet espace. Le corps devient objet non seulement pour la médecine mais aussi pour le public.
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - VIDÉO - ABSENCE DE TRANSPARENCE -
ustensiles de cuisine, meubles, fil électrique, ampoules, gradateur, amplificateur et deux haut-parleurs, dimensions variables
Les travaux de Mona Hatoum explorent les thèmes de la maison et du déplacement à travers la perspective de l'exil palestinien, en utilisant des objets domestiques communs qui, en y regardant de plus près, révèlent souvent des qualités menaçantes.
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - ABSENCE DE BOÎTE - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - PROJECTION (OMBRES PORTÉES) -
- OURSLER Tony (né en 1957), Years/ Months/ Weeks/ Days/ Hours/ Minutes/ Seconds, 1996,
malle, poupée habillée, LCD video projection, 23.5 x 66 x 40 cm, Saatchi Gallery.
Tony Oursler met en scène ses vidéos dans des installations qu’il nomme des « dispositifs », au sein desquels l’image projetée échappe volontairement à son cadre
Ses dispositifs multimédia intègrent l'architecture du lieu mais également des objets et le matériel de projection. Il projette notamment des images animées de visages entiers ou partiels sur des formes géométriques, des coussins ou des têtes de poupées (depuis 1992) et accompagne l'ensemble de montages sonores, les poupées semblant déverser un flot de paroles. L'oeuvre est souvent interactive, le spectateur pouvant actionner les commandes de l'oeuvre ou étant lui-même filmé et son visage intégré à la projection.
VOIR L'EXPOSITION DE TONY OURSLER AU AROS EXHIBITION CENTER (DANMARK), 2012Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - VIDÉO -
- OURSLER Tony (né en 1957), Window Project, 2005, Paris, Musée du Jeu de Paume,
la vitre surmontant la porte du bâtiment, devenue écran, renonce en partie à sa transparence et ouvre sur la réalité extérieure au travers du filtre des images, réalisées avec des danseurs contemporains.
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - ABSENCE DE BOÎTE - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - VIDÉO -
- OURSLER Tony (né en 1957), Oude Kerk (Vieille Eglise), Amsterdam, 2014,
exposition multimédia dans toute l'église sur les rapports de l'homme à l'ordinateur, au numérique, à Internet,
avec affichage de citations. Projection sur les vitraux.
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : IMAGE - LUMIÈRE (NATURELLE) - MOUVEMENT - TRANSPARENCE/FENÊTRE/VITRAUX - SON -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - ABSENCE DE BOÎTE - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - VIDÉO - SUPERPOSITION D'IMAGES -
- OURSLER Tony (né en 1957), The Influence Machine, Stockholm University, 2016,
A l'extérieur, l'artiste réalise des projections (dispersions) sonores de nuit sur les arbres et de la fumée (The Influence Machine, depuis 2000-2002).
VOIR UNE VIDÉO DE "THE INFLUENCE MACHINE", 2016
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : IMAGE - NARRATION - PAYSAGE - LUMIÈRE (NATURELLE) - MOUVEMENT - TRANSPARENCE (IMAGE/BRUME) - SON -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - ABSENCE DE BOÎTE - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - VIDÉO - SUPERPOSITION D'IMAGES -
- CONVERT Pascal (né en 1967), Native Drawings, 1997-1998,
peinture sous verre, 2 parois de 2,21x6,10 m, peinture réalisée à partir de dessins d'enfants aux tracés numérisés en 3D.
"Dans le cadre du projet "Art et Architecture" réalisé par Fumio Nanjo pour la Obayashi Corporation à Tokyo, j'ai été invité à concevoir une pièce à partir de deux murs de verre de grandes dimensions devant servir de cloisons de séparation dans un espace d'accueil du public. Chacun de ces murs était feuilleté en trois panneaux de verre successifs. Pour ce premier projet j'ai conservé la représentation tridimensionnelle des tracés issue des images de synthèse. Le verre, sa transparence, sa profondeur, son feuilletage permettait cette inscription inframince du volume temporel. Le traitement artisanal de la couleur, la fluidité des transitions colorées, (la transparence diffuse du verre lie dernier plan étant entièrement sablé) permettaient la création d'une image suspendue entre deux et trois dimensions. Vision de rubans de couleur saisis dans leur envol."
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : - PEINTURE - OEUVRE PANORAMIQUE (SUCCESSION DE PIÈCES) - LUMIÈRE (NATURELLE) - TRANSPARENCE (VERRE) - MOUVEMENT ( SPECTATEUR) -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - ABSENCE DE MOUVEMENT D'IMAGE - ABSENCE DE SON -
- IRWIN Robert (né en 1928), 1° 2° 3° 4°, 1997,
trois ouvertures découpées dans les vitres teintées de la galerie, 292.1 × 812.8 × 561.3 cm, San Diego, Museum of Contemporary Art,
les découpes cadrent la vue mais font également entrer la lumière, l'air et le paysage dans la galerie.
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE (PIÈCE) - IMAGE - PAYSAGE - LUMIÈRE (NATURELLE) - MOUVEMENT (PAYSAGE - SPECTATEUR) - TRANSPARENCE/FENÊTRE -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - ABSENCE DE SON -
- NOBLE Tim (né en 1966) et WEBSTER Sue (née en 1967), Instant Gratification, 2001
billets américains de 1 $, pinces métalliques, MDF, formica, Perspex (plaques acryliques), 3 ventilateurs électriques, mécanisme de machine à sous, jetons en plastique, projecteur de lumière, 76.3 x 76.3 x 222.5 cm,
les deux artistes réalisent des installations avec des matériaux de récupération, éclairées afin de dessiner le plus souvent
leur autoportrait en ombre portée sur le mur ; ici, le système est plus élaboré avec vitrine et mouvement.
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE - IMAGE (OMBRE PORTÉE) - MOUVEMENT (VENTILATEUR/BILLETS) - LUMIÈRE - SON -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : LUMIÈRE ARTIFICIELLE - PROJECTION (THÉÂTRE D'OMBRES) - OEUVRE INTERACTIVE (DÉCLENCHEMENT PAR LE SPECTATEUR) -
VOIR LE SITE DES ARTISTES
les découpes cadrent la vue mais font également entrer la lumière, l'air et le paysage dans la galerie.
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE (PIÈCE) - IMAGE - PAYSAGE - LUMIÈRE (NATURELLE) - MOUVEMENT (PAYSAGE - SPECTATEUR) - TRANSPARENCE/FENÊTRE -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - ABSENCE DE SON -
- NOBLE Tim (né en 1966) et WEBSTER Sue (née en 1967), Instant Gratification, 2001
billets américains de 1 $, pinces métalliques, MDF, formica, Perspex (plaques acryliques), 3 ventilateurs électriques, mécanisme de machine à sous, jetons en plastique, projecteur de lumière, 76.3 x 76.3 x 222.5 cm,
les deux artistes réalisent des installations avec des matériaux de récupération, éclairées afin de dessiner le plus souvent
leur autoportrait en ombre portée sur le mur ; ici, le système est plus élaboré avec vitrine et mouvement.
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : LUMIÈRE ARTIFICIELLE - PROJECTION (THÉÂTRE D'OMBRES) - OEUVRE INTERACTIVE (DÉCLENCHEMENT PAR LE SPECTATEUR) -
VOIR LE SITE DES ARTISTES
- ERLICH Leandro (né en 1973), The View, 1997/2017,
Installation vidéo 12 canaux, projecteur, dimensions variables
vidéo d'environ 10 minutes chacune (en boucle),
3 fenêtres offrant une vue de nuit d'appartements éclairés de Buenos Aires.
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE - IMAGE - NARRATION - PAYSAGE - LUMIÈRE - MOUVEMENT - TRANSPARENCE/FENÊTRE -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - VIDÉO - ABSENCE DE SON - JUXTAPOSITION D'IMAGES MULTIPLES -
- ERLICH Leandro (né en 1973), Eau molle, 2003,
dans l'architecture d'un ancien barrage, un bassin d'eau est offert à la traversée du spectateur : ce dernier marche en fait sur un matelas en vinyle rempli d'eau et imprimé de l'image numérisée de la rivière.
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE (PIÈCE) - IMAGE - PAYSAGE - PARCOURS - LUMIÈRE - MOUVEMENT (SPECTATEUR - EAU/IMAGE) - TRANSPARENCE (EAU/IMAGE) -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - PHOTOGRAPHIE - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - ABSENCE DE SON - OEUVRE INTERACTIVE -
- ERLICH Leandro (né en 1973), The Boat, Vidéo Windows series, 2010,
métal, bois, alu et installation vidéo, 265x220x32 cm, New York, Sean Kelly Gallery.
Le paysage maritime défile (vidéo) au-travers des baies, faisant voyager le spectateur comme s'il était sur un bateau.
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE - IMAGE - FENÊTRE - PAYSAGE - LUMIÈRE - MOUVEMENT (IMAGE/SPECTATEUR) -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - VIDÉO - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - ABSENCE DE TRANSPARENCE - DE SON -
Le paysage maritime défile (vidéo) au-travers des baies, faisant voyager le spectateur comme s'il était sur un bateau.
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE - IMAGE - FENÊTRE - PAYSAGE - LUMIÈRE - MOUVEMENT (IMAGE/SPECTATEUR) -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - VIDÉO - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - ABSENCE DE TRANSPARENCE - DE SON -
- ERLICH Leandro (né en 1973), Single Cloud Collection, 2012,
Une stratification de panneaux de verre peints à l'acrylique donnent l'illusion de nuages en 3D.
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE - IMAGE (PEINTURE) - TRANSPARENCE - PAYSAGE - LUMIÈRE - MOUVEMENT (SPECTATEUR)
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - ABSENCE DE MOUVEMENT DE L'IMAGE - ABSENCE DE SON -
- SORIN Pierrick (né en 1961), Titres variables, série, 1999,
caisson métal avec fenêtre de vision, 42x31x28 cm, Théâtre optique, vidéo HD,
bribe de chanson qui émane du disque rayé et passé à l'envers, qui, interprétée par le spectateur devient le titre de l'oeuvre.
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE - IMAGE - TRANSPARENCE - LUMIÈRE - MOUVEMENT (IMAGE/OBJET) - SON -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - VIDÉO -
- SORIN Pierrick (né en 1961), Superman à la banane, 2011,
caisson métal avec fenêtre de vision, 42x27x30 cm, Théâtre optique, vidéo HD.
L‘œuvre est dispositif optique (théâtre optique, depuis 1995) intégré dans un caisson métal pourvu d’une fenêtre de vision. Le procédé permet de faire apparaître un personnage filmé (l'artiste) dans un décor miniature réel en volume (objets, décors), avec une scène qui se répète en boucle. Le personnage s’apparente à un hologramme. L'artiste se met en scène dans des scènes burlesques où il décrit, avec humour et kitsch, la société contemporaine et l'absurdité de la vie, tout en faisant référence à l'Histoire de l'Art, notamment contemporain. Le spectacle est magique, en lien avec les inventions de la seconde moitié du XIX° siècle (John Henry Pepper, 1821-1900 : Pepper's Ghost, 1862 - Emile Reynaud, 1844-1918 : praxinoscope, 1876 ; praxinoscope-théâtre, 1879 ; théâtre optique, 1888) et les effets spéciaux du cinéma de Méliès au tout début du XX° siècle mais cherche à dévoiler également sa fabrication et son fonctionnement.
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE - IMAGE - NARRATION - TRANSPARENCE - LUMIÈRE - MOUVEMENT (IMAGE) - SON -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - VIDÉO -
VOIR LA VIDÉO (9 MN 45, 2001),
PIERRICK SORIN, 261, BOULEVARD RASPAIL, PARIS, XIV°,
EXPOSITION À LA FONDATION CARTIER, 2001.
VOIR LA VIDÉO (1 MN 36, 2011),
PIERRICK SORIN, THÉÂTRE OPTILUDIKS,
DES JOUETS ET DES HOMMES,
EXPOSITION AU GRAND PALAIS, 2011.
- SORIN Pierrick (né en 1961), Dommage à Buren, MAM de Buenos Aires, 2011,
"Je suis content d’avoir créé “in situ” une “œuvre” un peu nouvelle : Dommage à Buren. Une “video-peinture”, pourrait-on dire : des bandes bleues, peintes sur un mur blanc (d'autres fois sur toile), auxquelles se superpose une projection d’images : de la peinture dégoulinante. Les coulures généreuses et colorées interrogent les rapports entre une démarche à tendance conceptuelle et une expression beaucoup plus rétinienne".
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : IMAGE (PEINTURE) - TRANSPARENCE - LUMIÈRE - MOUVEMENT (IMAGE) -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - ABSTRACTION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - VIDÉO - SUPERPOSITION D'IMAGES - ODEUR
- SORIN Pierrick (né en 1961), Woody haleine, 2014,
installation, ventilateur, inhalateur et fromage sur la table en bois, 133 x 45,5 x 90,5 cm.
"Le point de départ est quelque chose d’assez potache : une machine à mauvaises odeurs. Cet objet, qui semble délirant tout en ayant un fonctionnement cohérent, s’inscrit dans la lignée des objets surréalistes. Et il y a une prouesse poético-technique involontaire : cette image qui se projette sur le ventilateur passe à travers les pales et crée une image sur le mur. On ne voit pas qu’elle est coupée sans arrêt, comme avec un projecteur de cinéma. Cela condense beaucoup de choses, entre l’histoire du cinéma et le surréalisme. Cette installation s’appelle “Woody haleine”, un jeu de mots sur sa mauvaise haleine !".
PIERRICK SORIN, THÉÂTRE OPTILUDIKS,
DES JOUETS ET DES HOMMES,
EXPOSITION AU GRAND PALAIS, 2011.
- SORIN Pierrick (né en 1961), Dommage à Buren, MAM de Buenos Aires, 2011,
"Je suis content d’avoir créé “in situ” une “œuvre” un peu nouvelle : Dommage à Buren. Une “video-peinture”, pourrait-on dire : des bandes bleues, peintes sur un mur blanc (d'autres fois sur toile), auxquelles se superpose une projection d’images : de la peinture dégoulinante. Les coulures généreuses et colorées interrogent les rapports entre une démarche à tendance conceptuelle et une expression beaucoup plus rétinienne".
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : IMAGE (PEINTURE) - TRANSPARENCE - LUMIÈRE - MOUVEMENT (IMAGE) -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - ABSTRACTION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - VIDÉO - SUPERPOSITION D'IMAGES - ODEUR
- SORIN Pierrick (né en 1961), Woody haleine, 2014,
installation, ventilateur, inhalateur et fromage sur la table en bois, 133 x 45,5 x 90,5 cm.
"Le point de départ est quelque chose d’assez potache : une machine à mauvaises odeurs. Cet objet, qui semble délirant tout en ayant un fonctionnement cohérent, s’inscrit dans la lignée des objets surréalistes. Et il y a une prouesse poético-technique involontaire : cette image qui se projette sur le ventilateur passe à travers les pales et crée une image sur le mur. On ne voit pas qu’elle est coupée sans arrêt, comme avec un projecteur de cinéma. Cela condense beaucoup de choses, entre l’histoire du cinéma et le surréalisme. Cette installation s’appelle “Woody haleine”, un jeu de mots sur sa mauvaise haleine !".
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE - IMAGE - TRANSPARENCE (VENTILATEUR) - LUMIÈRE - MOUVEMENT (IMAGE/VENTILATEUR) - SON (VENTILATEUR) -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - VIDÉO - PROJECTION - ODEUR -
- TURRELL James (né en 1943), Roden Crater, près de Flagstaff (Arizona), 1974-2014,
Sun and Moon Chamber, chambre avec un sol de basalte noir, et un dispositif de marbre blanc et de granite noir permettant observer le lever du soleil et le coucher de la lune.
l'artiste a acheté ce volcan et entrepris depuis 40 ans, de le transformer en oeuvre d'art monumentale et en observatoire astronomique à l’œil nu, permettant d'observer le ciel, le soleil, la lune, les étoiles. Les travaux ne sont toujours pas terminés et le volcan pas encore ouvert au grand public. Les flancs du volcan comprennent des Skyspaces, espaces ouverts sur le ciel dans lesquels le visiteur fait l'expérience méditative de la lumière et la couleur du ciel, du déroulement du temps, et de sa relation au monde.
VOIR UNE VIDÉO
- TURRELL James (né en 1943), Deer Shelter (Abri de cerfs), 2006,
Wakefield (Angleterre), Yorshire Sculpture Park,
le refuge du XVIII° siècle du Parc a été transformé par l'artiste en Skyspace.
Depuis les années 1970, l'artiste a réalisé plusieurs dizaines de Skyspaces, des chambres d'observation du ciel, soit en investissant des bâtiments existants, soit en construisant une architecture adaptée. Les murs neutres sont pourvus de bancs permettant d'accueillir une ou plusieurs dizaines de visiteurs. Une ouverture géométrique perce le plafond et encadre le ciel, comme un trompe-l’œil. L'observation silencieuse et méditative se fait surtout au lever et au coucher du soleil. Des lumières artificielles colorées (LED), dans certains Skyspaces, viennent modifier la perception de la lumière.
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE (CADRE/FENÊTRE) - TRANSPARENCE - PAYSAGE - LUMIÈRE (NATURELLE) - MOUVEMENT (LUMIÈRE - NUAGES) - PUBLIC RESTREINT
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - ABSENCE D'IMAGE - DE SON -
- ELIASSON Olafur (né en 1967), The Weather Project, 2003,
Londres, Turbine Hall de la Tate Modern, lampes mono-fréquence, feuille de projection, machines de brume, feuille de miroir, aluminium, échafaudages, 26,7x 22,3x 155,4 m,
un demi-soleil artificiel irradie tout l'espace et se reflète dans le plafond couvert de miroirs (ciel), alors qu'une brume est diffusée partout, modifiant la lumière de son halo. Pour le spectateur, il s'agit tout à la fois de vivre un moment naturel reconstitué (représentation du lever ou coucher de soleil) mais d'en ressentir également les émotions (expérience physique et mentale), le hall devenant un immense terrain de jeu (reflets dans les miroirs) et de méditation (immersion dans la lumière ne permettant que la vision en jaune et noir).
L'installation in situ fait également écho à l'ancienne affectation de l'endroit (salle des turbines d'une usine électrique) ainsi qu'au "brouillard londonien".
VOIR UNE VIDÉO DE "THE WEATHER PROJECT", 2003
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE (PIÈCE) - IMAGE - PAYSAGE - PARCOURS - TRANSPARENCE (LUMIÈRE/BRUME) - LUMIÈRE - MOUVEMENT (LUMIÈRE/BRUME/SPECTATEUR) -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - ABSENCE DE SON - REFLETS (MIROIRS) - OEUVRE INTERACTIVE -
VOIR UNE VIDÉO DE "THE WEATHER PROJECT", 2003
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE (PIÈCE) - IMAGE - PAYSAGE - PARCOURS - TRANSPARENCE (LUMIÈRE/BRUME) - LUMIÈRE - MOUVEMENT (LUMIÈRE/BRUME/SPECTATEUR) -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - ABSENCE DE SON - REFLETS (MIROIRS) - OEUVRE INTERACTIVE -
- ELIASSON Olafur (né en 1967), Your concentric welcome, 2004,
3 disques en verre suspendus : 1 verre magenta, 1 verre jaune et 1 verre en miroir avec motif de cible sur une face, 3 moteurs, 1 projecteur de lumière HMI sur trépied, Paris, MNAM,
trois disques en verre suspendus chacun par un câble tournent lentement au moyen de 3 moteurs accrochés au plafond installés dans une salle obscure. Alignés, les disques sont projetés sur le mur grâce à la lumière puissante d'une lampe de projection.
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE (PIÈCE) - IMAGE (CIBLE) - TRANSPARENCE (DISQUES) - LUMIÈRE - MOUVEMENT (DISQUES/SPECTATEUR) -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - ABSTRACTION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - PROJECTION (OMBRES PORTÉES) - SUPERPOSITION D'IMAGES - ABSENCE DE SON -
- ELIASSON Olafur (né en 1967), Your Rainbow Panorama, 2006-2011,
Cette oeuvre pérenne est située sur la terrasse du Aros Kunstmuseum à Aarhus, Danemark. Elle est constituée d'un couloir vitré permettant un panorama à 360° sur la ville mais au-travers de vitres teintées qui déclinent toutes les nuances du cercle chromatique.
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE (COULOIR) - IMAGE/PAYSAGE/COULEUR (RÉFÉRENCE À LA PEINTURE) - PANORAMA - LUMIÈRE (NATURELLE) - TRANSPARENCE (FILTRES COULEUR) - PARCOURS - MOUVEMENT (PAYSAGE/SPECTATEUR) -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE (DE NUIT) - ABSENCE DE SON -
- ELIASSON Olafur (né en 1967), Seu corpo da obra, 2011,
feuille, bois, projecteurs, dimensions variables,
labyrinthe de filtres de couleur monochromes, semi-transparents de magenta, cyan, et jaune qui se chevauchent pour créer des schémas de couleurs différentes en fonction du point de vue.
VOIR UNE VIDÉO DE "SEU CORPO DA OBRA", 2011
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : IMAGE/COULEUR (RÉFÉRENCE À LA PEINTURE) - PARCOURS - LUMIÈRE - TRANSPARENCE (FILTRES) - MOUVEMENT (SPECTATEUR) -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE (DE NUIT) - ABSTRACTION - JUXTAPOSITION D'IMAGES MULTIPLES - ABSENCE DE SON -
feuille, bois, projecteurs, dimensions variables,
labyrinthe de filtres de couleur monochromes, semi-transparents de magenta, cyan, et jaune qui se chevauchent pour créer des schémas de couleurs différentes en fonction du point de vue.
VOIR UNE VIDÉO DE "SEU CORPO DA OBRA", 2011
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : IMAGE/COULEUR (RÉFÉRENCE À LA PEINTURE) - PARCOURS - LUMIÈRE - TRANSPARENCE (FILTRES) - MOUVEMENT (SPECTATEUR) -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE (DE NUIT) - ABSTRACTION - JUXTAPOSITION D'IMAGES MULTIPLES - ABSENCE DE SON -
- ELIASSON Olafur (né en 1967), Reality mosaic, 2018,
Acier inoxydable, peinture (noir), verre coloré, ampoule, 202 x 190 x 190 cm,
environnement dynamique de formes et de couleurs.
Acier inoxydable, peinture (noir), verre coloré, ampoule, 202 x 190 x 190 cm,
environnement dynamique de formes et de couleurs.
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE (PIÈCE) - IMAGE/COULEUR (RÉFÉRENCE À LA PEINTURE) - LUMIÈRE - TRANSPARENCE (REFLET) - MOUVEMENT (SPECTATEUR) -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - ABSTRACTION - ABSENCE DE SON - PROJECTION -
- LEVÊQUE CLAUDE (né en 1953), Le rôdeur, 2007,
installation in situ, Galerie des Carrache, palais Farnèse, exposition Luce di pietra, Rome),
structure scénique, voilages, ventilateurs, tubes lumière noire, projecteurs avec filtres rose chair, lampes de chevet, matelas, Paris, Galerie Kamel Mennour.
VOIR LA VIDÉO DE "LE RÔDEUR", 2007
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE (PIÈCE) - IMAGE/COULEUR (RÉFÉRENCE À LA PEINTURE/PANORAMA) - NARRATION - LUMIÈRE - TRANSPARENCE (FILTRES/VOILAGES) - SON (VENTILATEURS) -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - ABSENCE DE MOUVEMENT (IMAGE) - PROJECTION - JUXTAPOSITION D'IMAGES MULTIPLES -
- LEVÊQUE Claude (né en 1953), The Diamond Sea, 2010
Dispositif in situ, objets, suspensions, profils découpés en inox polimiroir,
lumières (projecteurs LED, lumière noire, projecteurs blancs, boule disco, stroboscope...),
diffusions sonores (voix, musiques, bruits), murs peints en noir,
Centre Régional d’Art Contemporain Languedoc-Roussillon, Sète
VOIR LA VIDÉO DE "THE DIAMOND SEA", 2010
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE (PIÈCES) - PARCOURS - IMAGE - MOUVEMENT (PROFILS/OMBRES PORTÉES/SPECTATEUR) - LUMIÈRE - TRANSPARENCE (OMBRES PORTÉES) - SON -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - PROJECTION (THÉÂTRE D'OMBRES) -
- LECCIA Ange (né en 1952), Nymphea, Nantes, 2007,
Nymphéa consiste en une projection à la surface du canal. Une jeune femme évolue tranquillement dans un environnement aquatique. Cette double présence de l’eau, dans l’image et comme support de l’image, produit un effet troublant. La lumière de la projection joue à la surface mouvante de l’eau, hommage perceptible aux recherches picturales de Claude Monet.
Cette ondine est incarnée par Laetitia Casta, icône de notre société, devenue ici nymphe mythique contemporaine.
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : IMAGE - PAYSAGE - NARRATION - MOUVEMENT (IMAGE/EAU/SPECTATEUR) - LUMIÈRE - TRANSPARENCE (IMAGE) -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - VIDÉO - PROJECTION - ABSENCE DE SON -
- LECCIA Ange (né en 1952), Exposition, La mer allée avec le soleil, Nantes, 2016,
D’abord peintre, Ange Leccia se tourne rapidement vers les arts filmiques. Ses “arrangements”, comme il les nomme, naissent d’un travail sur l’image, filmée ou photographique, qu’il déchire, ralentit, découpe : omniprésence de l’eau, des souvenirs de sa jeunesse corse ; les explosions, tempêtes, orages et déferlantes qui illustrent sa sensibilité à fleur de peau ; des images télévisuelles retravaillées dans lesquelles la gravité intérieure rejoint la gravité du monde (en contraste, sans cesse, la beauté du monde naturel) ; les jeunes filles ou l’adolescence comme l’état de création artistique de tous les possibles, mais où l’on se sent perdu face à l’inconnu ; la pop music et les tubes qui souvent collent au souvenir d’un sentiment fort.
VOIR UNE VIDÉO DE L'EXPOSITION
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : IMAGE - PAYSAGE - PANORAMA - NARRATION - MOUVEMENT (IMAGE/SPECTATEUR) - LUMIÈRE - TRANSPARENCE (SUPERPOSITION D' IMAGES) - SON -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - VIDÉO - PROJECTION - JUXTAPOSITION D'IMAGES MULTIPLES -
- DELVOYE Wim (né en 1965), Chapelle, 2006
vitraux et chapelle métallique, 480 x 1080 x 705 cm,
vitraux, acier, plomb, verre, radiographies,
Commande et Collection Mudam Luxembourg.
Pour Mudam, Delvoye conçoit une chapelle d’inspiration gothique, tout en métal, et ornée de vitraux à l’imagerie subversive. L’artiste décline l’autocitation en verres noirs, gris et colorés. Doigts d’honneurs, baisers, intestins humains, squelettes de Cloaca sont radiographiés et accèdent ainsi au statut de vitraux païens. Ses morceaux de viande passés aux rayons X dévoilent leur message athée grâce à la lumière que le vitrail transfigurait autrefois en divin. Grimaçants et cyniques, les crânes, les ossements et leurs dérivés se paient le luxe de pouvoir être interprétés comme autant de vanités modernes.
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE (CHAPELLE) - IMAGE - PARCOURS - MOUVEMENT (SPECTATEUR) - LUMIÈRE - TRANSPARENCE (IMAGE) -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - RADIOGRAPHIE - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - ABSENCE DE MOUVEMENT D'IMAGE - ABSENCE DE SON - JUXTAPOSITION D'IMAGES MULTIPLES -
- MUNSON Portia (née en 1961), Peony Garden, Morning Glory Gardens Series, 2012,
fleurs naturelles numérisées en très haute résolution (photographiées et scannées) formant des mandalas dans 6 ensembles photographiques sur verre feuilleté rétroéclairé de la station de métro de New York, Fort Hamilton Parkway Station.
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE - IMAGE - PARCOURS - MOUVEMENT (SPECTATEUR) - LUMIÈRE - TRANSPARENCE (IMAGE)
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - PHOTOGRAPHIE - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - ABSENCE DE MOUVEMENT D'IMAGE - ABSENCE DE SON -
- BUREN Daniel (né en 1938), Color, Rythm, Transparency - The Simple Frieze, 2007,
filtres de vinyle coloré, miroirs,
Exposition, "The Eye of the Storm", New York, Salomon R. Guggenheim Museum.
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - ABSTRACTION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - ABSENCE DE MOUVEMENT DE L'IMAGE - ABSENCE DE SON - REFLETS (MIROIRS) - JUXTAPOSITION D'IMAGES MULTIPLES -
- KUSAMA Yayoi (née en 1929), Infinity Mirrored Room—Aftermath of Obliteration of Eternity, 2009,
Wood, mirror, plastic, acrylic, LEDs, and aluminum, Collection of the artist.
Dans Infinity Mirrored Room - Aftermath of Oblitération of Eternity, les lanternes dorées scintillent, créant un motif de lumière scintillant qui contraste avec le vide apparemment infini de l'espace noir reflété. Pour Kusama, l'oblitération est une réflexion sur l'expérience de la mort et le potentiel de l'au-delà. L'imagerie de cette œuvre rappelle la tradition japonaise du toro nagashi, une cérémonie au cours de laquelle des lanternes en papier connues sous le nom de chochin descendent une rivière pour guider les esprits ancestraux vers leurs lieux de repos lors de la dernière nuit des festivals estivaux. La cérémonie commémore souvent les victimes des bombes atomiques. Hypnotisant et intime, l'installation poétique de Kusama souligne l'impermanence de la vie et la certitude de la mort.
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE (PIÈCE) - IMAGE/COULEUR - PARCOURS - PERSPECTIVE (INFINIE) - MOUVEMENT (LUMIÈRE/REFLET/SPECTATEUR) - LUMIÈRE -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - ABSENCE DE SON - REFLETS (MIROIRS) -
- MALANI Nalini (née en 1946), Remembering Mad Meg, 2007-2011,
vidéo / théâtre d’ombres, trois vidéos d’animation, sept cylindres en plastique,
Lexan peints, armatures d’acier, lumière, moteurs, son
Exposition "Paris-Bombay", Centre Pompidou, 2011,
VOIR L'OEUVRE, "REMEMBERING MAD MEG", 2011
Wood, mirror, plastic, acrylic, LEDs, and aluminum, Collection of the artist.
Dans Infinity Mirrored Room - Aftermath of Oblitération of Eternity, les lanternes dorées scintillent, créant un motif de lumière scintillant qui contraste avec le vide apparemment infini de l'espace noir reflété. Pour Kusama, l'oblitération est une réflexion sur l'expérience de la mort et le potentiel de l'au-delà. L'imagerie de cette œuvre rappelle la tradition japonaise du toro nagashi, une cérémonie au cours de laquelle des lanternes en papier connues sous le nom de chochin descendent une rivière pour guider les esprits ancestraux vers leurs lieux de repos lors de la dernière nuit des festivals estivaux. La cérémonie commémore souvent les victimes des bombes atomiques. Hypnotisant et intime, l'installation poétique de Kusama souligne l'impermanence de la vie et la certitude de la mort.
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - ABSENCE DE SON - REFLETS (MIROIRS) -
vidéo / théâtre d’ombres, trois vidéos d’animation, sept cylindres en plastique,
Lexan peints, armatures d’acier, lumière, moteurs, son
Exposition "Paris-Bombay", Centre Pompidou, 2011,
VOIR L'OEUVRE, "REMEMBERING MAD MEG", 2011
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE (PIÈCE) - IMAGE/COULEUR (PEINTURE) - PARCOURS - MOUVEMENT (IMAGE/CYLINDRES/LUMIÈRE/SPECTATEUR) - LUMIÈRE - SON -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - PROJECTION - VIDÉO - SUPERPOSITION D'IMAGES - JUXTAPOSITION D'IMAGES MULTIPLES -
- COIMBRA Eduardo (né en 1955), Projeto Nuvem, 2008,
cinq caissons lumineux de 4,7x4,7 m chacun, recouverts de miroir sur la tranche et de chaque côté d'une impression photo sur toile translucide, Rio de Janeiro, Praça XV.
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE - IMAGE - PAYSAGE - TRANSPARENCE - PARCOURS - MOUVEMENT (SPECTATEUR) - LUMIÈRE -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : INSTALLATION (EXTÉRIEURE) - PHOTOGRAPHIE - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - ABSENCE DE SON - JUXTAPOSITION D'IMAGES MULTIPLES -
- LORIOT-MELIA (duo depuis 1992), Les Bergers d'Arcachon, 2010,
interrupteur, photographie superposée sur matériau diffusant, leds sur caisson, 1 x 1,50 m,
photographie de trottoir en quatre panneaux, révélant une vue de plage et une île fantastique lorsqu'elle est rétro-éclairée par le spectateur, révélant des formes dessinée au revers.
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE - IMAGE - PAYSAGE - TRANSPARENCE - LUMIÈRE -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : LUMIÈRE ARTIFICIELLE - PHOTOGRAPHIE - ABSENCE DE SON -
- FAVAND Jean-Paul (né en 1946), Naguère Daguerre 1, 2012,
toile peinte du XIXe siècle (provenant d'un théâtre mécanique forain) et création numérique, 270 x 410 cm,
la baie de Naples vue de jour passe à la nuit et l’éruption du Vésuve se produit, grâce à des jeux de lumière multiples, LED, projecteurs et flambeaux.
VOIR LA VIDÉO DE "NAGUÈRE DAGUERRE 2", 2012
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE - IMAGE (PEINTURE) - PAYSAGE - SPECTACLE - TRANSPARENCE - LUMIÈRE - SON -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : LUMIÈRE ARTIFICIELLE -
- KIEFER Anselm (né en 1945), Family Pictures, ensemble et détail, 2013-2017,
métal, verre, plomb, bois contreplaqué, acrylique, émulsion ,photographie, aquarelle sur papier, matériaux divers,Avec de vieilles photos plantées dans des décors de forêts enneigées, Anselm Kiefer fabrique une série de tableaux en noir et blanc. Des épisodes de son passé se muent en scènes de théâtre intimes où rôde, comme toujours dans ses œuvres, le spectre de la Seconde Guerre Mondiale: outre des clichés de son enfance dans la Forêt-Noire, on y trouve une photo issue du journal de guerre de son père officier de la Wehrmacht et une référence au « Dormeur du Val » d’Arthur Rimbaud.
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE - IMAGE - PAYSAGE - TRANSPARENCE - LUMIÈRE -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : DIORAMA - PHOTOGRAPHIE - LUMIÈRE ARTIFICIELLE -
ABSENCE DE SON - JUXTAPOSITION D'IMAGES MULTIPLES -
- ROUSSEAU Samuel (né en 1971), L'Arbre et son ombre, 2012,
Clermont-Ferrand, Galerie Claire Gastaud,
installation vidéo projetant des ombres portées sur un arbre réel et un écran,
et retraçant, en boucle, le cycle virtuel complet de la vie du châtaignier (mort et présent), au fil des saisons.
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : VIDÉO - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - PROJECTION (OMBRES PORTÉES) - ABSENCE DE SON - VÉGÉTAL -
impression jet d'encre sur film, plastique acrylique, (30 feuilles) 28,5 x 198 x 31 cm.
VOIR LA VIDÉO DE "LAYER DRAWINGS"
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : IMAGE - PAYSAGE - PANORAMA - MOUVEMENT (SPECTATEUR) - TRANSPARENCE - LUMIÈRE -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : PHOTOGRAPHIE - LUMIÈRE ARTIFICIELLE -
ABSENCE DE MOUVEMENT (IMAGE) - ABSENCE DE SON - JUXTAPOSITION/SUPERPOSITION D'IMAGES MULTIPLES -
- RIST Pipilotti (née en 1962), Pour Your Body Out, New York, MoMA, 2008,
Exposition solo de l'artiste, installations monumentales (liées à l'architecture) et immersives (flot d'images vidéo HD projetées au ralenti, musique océanique d'Anders Guggisberg) reliant le corps à l'environnement naturel (corps de l'artiste, animaux, paysages, images abstraites) dans l'idée de paradis retrouvé où le spectateur peut s'asseoir, se coucher, voire danser et chanter.
VOIR LA VIDÉO DE "POUR YOUR BODY OUT", 2009
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE (PIÈCE) - IMAGE - PAYSAGE - PARCOURS - PANORAMA - MOUVEMENT (IMAGE - SPECTATEUR) - LUMIÈRE - SON -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : LUMIÈRE ARTIFICIELLE - VIDÉO - ABSENCE DE TRANSPARENCE - JUXTAPOSITION D'IMAGES MULTIPLES -
- RIST Pipilotti (née en 1962), Pixel Forest, New York, New Museum, 2016,
Exposition solo de l'artiste, installations immersives (images animées, musique, lumières).
VOIR UNE VIDÉO DE L'EXPOSITION, "PIXEL FOREST, 2016
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE (PIÈCE) - IMAGE - PAYSAGE - PARCOURS - PANORAMA - MOUVEMENT (IMAGE - SPECTATEUR) - LUMIÈRE - SON -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : LUMIÈRE ARTIFICIELLE - VIDÉO - ABSENCE DE TRANSPARENCE -
- KOGLER Peter (né en 1959), Sans titre, 2008,
Vienne, MUMOK, rétrospective de l'artiste,
installation multimédia avec projection en boucle, pilotée par ordinateur, d'images animées sur la façade du musée (rats blanc se déplaçant sans un labyrinthe), et installations et projections intérieures ;
L'exposition se déploie dès l'extérieur du musée, transformant l'architecture en support et en espace d'une oeuvre virtuelle et monumentale.
Depuis les années 1980, l'artiste déploie ses motifs modulaires et en forme de rhizomes sur des ensembles architecturaux à l’extérieur comme à l’intérieur, sous forme de peinture, de papiers sérigraphiés ou de projections. Fourmis, tuyaux ou cerveaux font partie de son vocabulaire. Produits par des ordinateurs, ils s’entrelacent et se répètent à l’infini à l’image d’un réseau organique ou électronique.
VOIR UNE VIDÉO DE L'EXPOSITION AU MUMOK
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE (BÂTIMENT/PIÈCE) - IMAGE - PARCOURS - PANORAMA - MOUVEMENT (IMAGE - SPECTATEUR) - LUMIÈRE - SON -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : LUMIÈRE ARTIFICIELLE - VIDÉO - PROJECTION (EXTÉRIEUR - INTÉRIEUR) -
- KOGLER Peter (né en 1959), Ich ist eines Ego-Maschine, 2016,
installation visuelle et sonore créée en 2016, produite et exposée par la Fondation
ERES à Munich la même année et au K21 à Düsseldorf en 2017. L’œuvre est une boîte
de H 240 x 230 x 270 cm dans lequel le visiteur est invité à entrer. A l’intérieur, les
murs composés d’écrans LED et de miroirs reflètent à l’infini une animation vidéo
kaléidoscopique créée par ordinateur. L’image du visiteur se reflète et fait partie
intégrante de cet univers psychédélique et mouvant.
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE (PIÈCE) - IMAGE - PARCOURS - PANORAMA - MOUVEMENT (IMAGE - SPECTATEUR) - LUMIÈRE - SON -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : LUMIÈRE ARTIFICIELLE - VIDÉO - REFLETS (MIROIRS)
- CHEVALIER Miguel (né en 1959), Tapis magiques, avril 2014,
église du Sacré-Coeur, Casablanca,
installation de réalité virtuelle, générative et interactive.
VOIR LA VIDÉO DE "TAPIS MAGIQUES", 2014
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE (NEF) - IMAGE - PARCOURS - PANORAMA - MOUVEMENT (IMAGE - SPECTATEUR) - LUMIÈRE - SON -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : OEUVRE GÉNÉRATIVE (ALGORITHMES) - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - OEUVRE INTERACTIVE (RÉACTION AU MOUVEMENT DU SPECTATEUR) -
- CHEVALIER Miguel (né en 1959), Extra-natural, 2018,
Exposition "Artistes et Robots", Paris, Grand Palais, 2018,
oeuvre de réalité virtuelle générative et interactive.
Des fleurs imaginaires poussent, vivent et meurent
et se courbent quand le mouvement d'un spectateur est détecté
VOIR LA VIDÉO DE "EXTRA NATURAL", 2018
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE (PIÈCE) - IMAGE - PAYSAGE - PANORAMA - MOUVEMENT (IMAGE - SPECTATEUR) - LUMIÈRE - SON -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : OEUVRE GÉNÉRATIVE (ALGORITHMES) - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - OEUVRE INTERACTIVE (RÉACTION AU MOUVEMENT DU SPECTATEUR) -
- TEAM LAB (collectif depuis 2001), Flowers and People, 2015,
interactive digital installation, endless, California, 2016.
TeamLab est un collectif d'artistes japonais composé de spécialistes tels que des programmeurs (ingénieurs d'interface utilisateur, ingénieurs de base de données, ingénieurs de réseau, ingénieurs de matériel, ingénieurs de vision informatique, architectes de logiciels), des mathématiciens, des architectes, des animateurs CG, des designers Web, des graphistes, des artistes, des éditeurs et bien d'autres.
Cette œuvre est en constante évolution : sur une période d'une heure, se déroule une année de floraison. Sans personne, cette installation est un espace sombre et nu. Lorsque les gens entrent dans la salle, les fleurs apparaissent autour d'eux et commencent à se répandre sous leurs pieds. Lorsque les fleurs sont approchées par quelqu'un, elles se propagent dans cette direction et forment des connexions. Les fleurs poussent, bourgeonnent et fleurissent avant que leurs pétales ne commencent à se faner et finissent par tomber. Le cycle de croissance et de désintégration se répète à perpétuité. Lorsque le spectateur est immobile, les fleurs se multiplient, poussent et s'épanouissent. Lorsque le spectateur se déplace, les fleurs commencent à se faner, à mourir et à s'évanouir. Cette œuvre est en continu, ce n'est ni une animation préenregistrée ni une boucle. Le travail est composé en temps réel par un programme informatique. L'interaction entre le visiteur et l'installation provoque des changements continus dans le déroulement. Les états visuels précédents ne peuvent jamais être reproduits et ne se reproduiront jamais.
VOIR LA VIDÉO DE "FLOWERS AND PEOPLE", 2015
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : BOÎTE (PIÈCE) - IMAGE - PAYSAGE - PANORAMA - MOUVEMENT (IMAGE - SPECTATEUR) - LUMIÈRE - SON -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : OEUVRE GÉNÉRATIVE (ALGORITHMES) - LUMIÈRE ARTIFICIELLE - OEUVRE INTERACTIVE (RÉACTION AU MOUVEMENT DU SPECTATEUR) -
- ROKEBY David (né en 1960), Machine for Taking Time (Boul. Saint-Laurent), vidéo, 2016,
en lien avec une composition musicale d'Ann Southam (performance en direct sur la projection), intitulée Simple Lines of Enquiry.
La vidéo fait partie d'une série d’œuvres dont la première, débutée en 2001 était in situ : une caméra de surveillance couleur avait été détournée de sa fonction de surveillance pour prendre plus d'un millier d'images fixes par jour des jardins environnants sur un parcours contrôlé par ordinateur, images retransmise à l'intérieur des Oakville Galleries sur un écran fixé au plafond. Des versions nomades ont vu ensuite le jour. En 2005, une nouvelle oeuvre est réalisée à partir du bâtiment Ex-Centris de Montréal (ancienne séparation quartiers francophone et anglophone) avec cette fois 2 caméras IP (à l'avant et l'arrière du bâtiment) permettant de les gérer et d'en visionner les images depuis l'atelier de l'artiste à Toronto. 750.000 images ont été enregistrées pendant toute une année (2005-2006) permettant des points de vue, temps, lumières et rythmes différents. La vidéo présentée ici est la nouvelle version réalisée à partir de cette banque d'images, en 2016.
VOIR LA VIDÉO
Points communs avec l'oeuvre de Carmontelle : IMAGE - PAYSAGE - PANORAMA - SAISONS -MOUVEMENT (IMAGE) - SON -
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : VIDÉO -
- FISHL Eric (né en 1948), Dancers, 2017,
peinture sur verre sur socle de bois,
jouant avec la superposition de quatre plans, 49x45x34 cm.
Différences avec l'oeuvre de Carmontelle : SUPERPOSITION D'IMAGES - ABSENCE DE CADRE OU DE BOÎTE - ABSENCE DE SON -
VOIR LA PREMIÈRE PARTIE DE CET ARTICLE
VOIR LA DEUXIÈME PARTIE DE CET ARTICLE
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