- AMBROSETTI Joseph (1841-1890), Portrait de femme, recto, vers 1877-1878 (?),
inscriptions au recto, "Jh AMBROSETTI - Armoiries d'Italie du Roi et des Princes Royaux -
PEINTRE & PHOTOGRAPHE - TURIN - NICE",
tirage albuminé de 14x10 cm sur carton de 16,4x10,7 cm, Collection personnelle.
DERNIÈRE MISE À JOUR DE CET ARTICLE : 09/09/2024
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TURIN
Giuseppe Ambrosetti est né en 1841, probablement à Turin (Piémont, Italie).
Peintre et photographe italien, Giuseppe Ambrosetti officie à Turin dès les années 1860, associé à Barra, via Borgo Nuovo, 34.
Il se marie dans la même décennie avec Carola Bertolino (née en 1841 à Turin).
Il ouvre ensuite son propre studio vers 1866-1869, via di Porta Palatina, 1 et ensuite également via Palma, 9. Il réalise, en 1869, un album photographique du Zoo Regio de Turin (conservé à la Bibliothèque Royale de Turin).
Il déménage vers 1870, via Gaudenzio Ferrari 2, atelier qu'il cède ensuite à Giuseppe Rota pour s’installer dès 1874 à une adresse qu'il conservera jusqu'à sa mort, via Po 43 (un carton daté d'octobre 1874).
En 1874, il remporte une médaille d’argent à Turin (Société Promotrice des Beaux-Arts de Turin), une médaille d’or à l'Exposition de Naples (Cercle Promoteur du Mérite Artistique), et une médaille d’argent à l'Exposition de Nice.
Ses cartons italiens portent notamment au verso :
-"Ambrosetti e Barra - Fotografi - Via Borgo Nuovo, N° 34 - rimpetto al Caffè della Perla - Torino" (vers 1860-1866 ?),
-"G. Ambrosetti - Fotograf - Via di Porta Palatina, N° 15 - Torino" (vers 1866-1870 ?),
- sous les armoiries du Piémont (dragon sous le soleil, surmonté d'un heaume empanaché), le texte à l'encre bleue ou brune sur fond blanc puis à l'encre rouge sur fond jaune, "G. Ambrosetti - Fotografo - Via Gaudenzio Ferrari N°. 2 - Rimpetto Al Teatro - Vittorio Emanuele - Torino" (vers 1870-1874 ?) ;
- sous les armoiries doubles d'Italie encadrées de médailles recto et verso surmontées de la date de 1874 et soulignées de "Medaglia D'Oro" (Napoli, à gauche) et de "Medaglia D'Argento" (Nice, à droite), "G. Ambrosetti - Pittore E Fotografo - Di S.M. Il Re D'Italia - Di S.A.R. Il Ducca d'Aosta - Torino - Via Po 43 - Piano Nobile" (vers 1874-1878 ?).
NICE
Le 2 juillet 1877, Joseph Ambrosetti établit, en plus de son atelier turinois, une succursale à Nice où il acquiert une villa au 41, avenue Beaulieu (AD06, Conservation des hypothèques).
L'ouverture officielle de son atelier niçois a lieu du vendredi 31 novembre au 1er décembre 1877. L’un des cartons d’invitation est d'ailleurs conservé avec les dates des 1er et 2 décembre mais sans précision de l’année concernée (Archives Départementales des Alpes-Maritimes, 205J 0001).
- Annonce de l'ouverture de l'atelier niçois du chevalier Ambrosetti,
parue dans le Journal de Nice du 1er décembre 1877.
Cette adresse est citée ensuite dans l’annuaire niçois de 1879 (annuaire de 1878 non conservé) : "Ambrosetti, chev. J., peintre et photographe, avenue Beaulieu, 41" (liste alphabétique et liste des villas) et "Ambrosetti, en sa villa, avenue Beaulieu" (liste professionnelle des photographes).
Une petite annonce publiée en décembre 1883 indiquera, par erreur, que le "grand établissement de photographie [a] 8 ans d’existence" (Le Petit Marseillais du 13 au 18 décembre 1883 p 4 ; voir l'annonce plus bas).
En 1878, Giuseppe Ambrosetti participe, au nom de l’Italie, à l'Exposition Universelle de Paris où il remporte une médaille d’argent pour ses portraits, et notamment ses très belles épreuves agrandies (Exposition Universelle Internationale de 1878, Catalogue Officiel, Liste des Récompenses, p 59). La même année, il est l’auteur de l'album des croquis présentés au concours pour le monument à ériger à Turin en mémoire du roi Vittorio Emanuele II. En 1879, il participe à l'Exposition de la Société des Beaux-Arts de la Ville de Nice.
- Article paru dans Le Phare du Littoral du 12 février 1881,
Nice, Archives Départementales des Alpes-Maritimes.
En septembre 1881, M. Ambrosetti offre notamment un bon pour six photographies à la Tombola organisée au profit des Victimes marseillaises de l'accident du Prado (Le Phare du Littoral du 21 septembre 1881).
La même année, Joseph Ambrosetti demande l’autorisation de placer une vitrine d’exposition à l’angle de l’avenue Beaulieu et du boulevard Dubouchage (Archives Municipales de Nice, 2T 73-55). Dès novembre 1881, il fait paraître quelques publicités pour son atelier dans le journal Nice-Artistique.
"Ambrosetti Joseph, 41 ans, photographe" est cité dans le recensement de la Ville de Nice de décembre 1881, avenue Beaulieu (au 22), avec sa femme Caroline Bertolina [Bertolino], 35 ans, son beau-frère Jean Bertolina [Bertolino], 34 ans, photographes également (?), deux employés de 29 ans, Pierre (au nom illisible) et Sébastien Giraudi, et un concierge de 45 ans, Joseph Viscardi.
En 1882, il s’associe à Turin, à son adresse via Po, 43, avec les photographes Giuseppe Mosso et Giovanni Bertolino mais cette association ne dure qu’une seule année.
En septembre et octobre 1882, Joseph Ambrosetti est donateur et fait, un temps, partie du Comité de soutien aux inondés de Haute-Italie, présidé par le Consul d’Italie à Nice (L’Ami des Arts du 28 septembre 1882 p 1 et du 28 octobre 1882 p 3).
Fin 1882, Joseph Ambrosetti loue sa villa niçoise au photographe Hélios (La Vie Mondaine à Nice du 31 décembre 1882 p 1).
L'annuaire de 1883 (Collection privée Didier Gayraud) affiche, "Ambrosetti : Stélios [sic], succ. [successeur], av. Beaulieu, 41" (voir sur Gallica, un carton-photo d’Ambrosetti réutilisé par Hélios et offert à la Société de géographie en 1883). Le Guide
Nice en poche du Dr Rouget paru en 1883, cite à nouveau l’atelier
Ambrosetti, avenue Beaulieu, 41 (p 198).
Hélios fait cependant construire sa propre villa au 3, boulevard Dubouchage pendant l’année 1883 et y emménage en décembre.
Dès cette date, l'atelier Ambrosetti est à nouveau "à céder", cette fois, "pour raison de santé" et la villa Ambrosetti est "à vendre ou à louer meublée ou non" (Nice-Artistique du 6 décembre 1883 p 38 au 24 avril 1884 ; Le Petit Marseillais du 13 au 18 décembre 1883 p 4).
Une nouvelle petite annonce précise rapidement que "la Photographie Ambrosetti est ouverte dès le 1er janvier [1884]. Le chevalier Ambrosetti vient de s’en joindre comme 1er opérateur M. Paul Delahaye" (Nice-Artistique du 10 janvier 1884 p 78). Les deux annonces de réouverture et de cession continuent cependant à paraître dans ce même journal jusqu’en avril 1884.
C'est Joseph Messy (Messy Fils) qui reprend, après cette date (fin 1884 ?), l'atelier à cette même adresse et y est cité dès l’annuaire niçois de 1885.
Le revers des cartons de l'époque niçoise de Joseph Ambrosetti (vers 1875/78-1884), rédigés en italien ou en français, sont très variés :
- des cartons de couleur jaune, orange ou saumon, offrent le grand aigle dominant les armoiries du Roi d'Italie et des Princes Royaux ainsi que des médailles au-dessus du texte suivant, "Jh Ambrosetti - Peintre et photographe de SM. le Roi d’Italie - & des Princes Royaux", suivi des adresses (inversées selon la langue), "Nice, Villa Ambrosetti, Avenue Beaulieu - Turin - rue de Pô, 43, au 1er" ; ce sont probablement les cartons les plus anciens, vers 1875/77-1878 (?) ;
- des cartons de couleur jaune orangé, portent ensuite, en demi-cercle, "Exposition Paris 1878 Médaille de 1ère classe", le grand aigle dominant les armoiries du Roi d'Italie et des princes Royaux mais également celles de la Reine du Wurtemberg au-dessus du texte suivant, "Jh Ambrosetti - Peintre & Photographe de S.M. Le Roi d’Italie - & des princes Royaux - Et de - S.M. la Reine Olga de Württemberg", suivi des adresses (inversées selon la langue), "Nice, Villa Ambrosetti, Avenue Beaulieu, 41 - Turin - rue de Pô, 43, au 1er" (un carton daté de janvier 1880) ;
- des cartons de couleur beige ou rose portent le texte interrompu, "J. Ambrosetti - Photographe breveté de", au-dessus des armoiries du Roi d'Italie et des princes Royaux puis celles de la Reine du Wurtemberg encadrées des médailles de Paris en 1878 et de Nice en 1879, puis le texte reprend, "S.M. Le Roi - D’Italie - Et de S.M. la Reine de Württemberg - Turin & Nice" ;
- des cartons de couleur jaune orangé portent sa seule signature oblique, "Ambrosetti", accompagnée du texte oblique lui-aussi, "Torino E Nizza" (un carton daté de l'été 1881) ;
- des cartons au recto à fond blanc encadré de rouge et verso à fond jaune ou bien des cartons au recto et verso noirs portent le texte interrompu en français ou en italien, "J. Ambrosetti - Photographe breveté de" ou "G. Ambrosetti - Pittore Fotografo", au-dessus des armoiries du Roi d'Italie (avec deux lions affontés) puis celles de la Reine du Wurtemberg encadrées des médailles de Paris en 1878 et de Nice en 1879, puis le texte reprend, "S.M. Le Roi - D’Italie - Et de S.M. la Reine de Württemberg - Turin [Via Po N°43] & Nice" [ou "Torino E Nizza"] (un carton à fond noir daté d'octobre 1883) ; ce sont probablement les cartons niçois les plus tardifs.
TURIN
Giuseppe Ambrosetti expose à Turin en 1884 (hors concours).
Il décède dans cette ville en 1890, à l'âge de 49 ans.
Son atelier turinois perdure cependant grâce à son épouse, avec une nouvelle adresse dès 1892, Via Assietta 37 (un carton daté d'octobre 1892) puis dès 1897, via XX Settembre 3. L'atelier est cédé à Bernardo Pasta en 1898 (un carton daté de décembre 1898).
L’épouse de Giuseppe Ambrosetti, Carola née Bertolino, décédera à Asti (Piémont), le 16 mai 1923, âgée de 82 ans.
- AMBROSETTI Joseph (1841-1890), Portrait de femme, recto, vers 1877-1878 (?),
inscriptions au recto, "Jh AMBROSETTI - Armoiries d'Italie du Roi et des Princes Royaux -
PEINTRE & PHOTOGRAPHE - TURIN - NICE",
tirage albuminé de 14x10 cm sur carton de 16,4x10,7 cm, Collection personnelle.
- AMBROSETTI Joseph (1841-1890), Portrait de femme, verso, vers 1877-1878 (?),
inscriptions imprimées, "armoiries d'Italie du Roi et des Princes Royaux et du Wurtemberg - Jh AMBROSETTI - PEINTRE & PHOTOGRAPHE DE S.M. LE ROI D'ITALIE - & DES PRINCES ROYAUX - NICE - Villa Ambrosetti, Avenue Beaulieu - TURIN - Rue de Pô, 43, au 1er - - N° 1695",
carton de 16,4x10,7 cm, Collection personnelle.
- AMBROSETTI Joseph (1841-1890), Portrait d'homme (nuagé), vers 1879-1880,
inscriptions au recto, "Jh AMBROSETTI - Armoiries d'Italie du Roi et des Princes Royaux - PEINTRE & PHOTOGRAPHE - TURIN - NICE",
tirage albuminé de 9,4x6 cm sur carton de 10,5x6,2 cm, Collection personnelle.
- AMBROSETTI Joseph (1841-1890), Portrait d'homme (nuagé), vers 1879-1880,
inscriptions manuscrites au verso, "A vous, mes bons amis ma tête - et mes meilleures amitiés - Nice, le 14 janvier 1880 - Signature (?)",
inscriptions imprimées, "Exposition Universelle Paris 1878 Médaille de 1ère classe - Armoiries d'Italie du Roi et des Princes Royaux et du Wurtemberg - Jh AMBROSETTI - PEINTRE & PHOTOGRAPHE DE S.M. LE ROI - & DES PRINCES ROYAUX D'ITALIE - ET DE - S.M. LA REINE OLGA DE WURTEMBERG - NICE - Villa Ambrosetti, Avenue Beaulieu, 41 - TURIN - Rue de Pô, 43, au 1er -- N° 2979",
carton de 10,5x6,2 cm, Collection personnelle.
- AMBROSETTI Joseph (1841-1890), Portrait de femme (médaillon), vers 1880-1884 (?),
"Ambrosetti - armoiries d'Italie - NICE-TURIN",
tirage albuminé de 9x5,6 cm sur carton épais à la tranche dorée de 10,5x6,3 cm, Collection personnelle.
- AMBROSETTI Joseph (1841-1890), Portrait de femme (médaillon), vers 1880-1884 (?),
"J. Ambrosetti - Photographe breveté de", au-dessus des armoiries du Roi d'Italie puis celles de la Reine du Wurtemberg encadrées des médailles de Paris en 1878 et de Nice en 1879, puis le texte reprend, "S.M. Le Roi - D’Italie - Et de S.M. la Reine de Württemberg - Nice-Turin",
carton épais à la tranche dorée, cartonnier "L. & G. Milano",
tirage albuminé de 9x5,6 cm sur carton de 10,5x6,3 cm, Collection personnelle.
DRAP
Felice Paolo Busino est né le 12 septembre 1847 à Drap (Alpes-Maritimes). Il est l'un des enfants d'Agostino Busino, maçon et de son épouse Cristina Guigo, femme au foyer.
NICE
Sa famille s'installe à Nice, rue Place d'Armes, au plus tard au début des années 1860. Le père est désormais facteur de denrées et a un nouveau fils à cette adresse, Jean Baptiste Louis Busin, le 23 juin 1863.
A Nice, dès le milieu des années 1860, "Félix Busino, photographe" apparaît tout d'abord en tant qu'élève et assistant de Charles Nègre. Le recensement de la Ville de Nice de 1866 le dit âgé de 18 ans, et vivant, comme Charles Nègre, au 6, rue Saint-Etienne.
De rares cartons photographiques portent au revers, à l'encre rouge : "Spécialité d'Agrandissements - Portraits de toutes dimensions - en noir et en couleur - F. Busin - Élève de Mr Chles Nègre - Inventeur de la Photo-Héliographie" mais sans nom de ville, sans adresse ni date.
Sa famille s'installe à Nice, rue Place d'Armes, au plus tard au début des années 1860. Le père est désormais facteur de denrées et a un nouveau fils à cette adresse, Jean Baptiste Louis Busin, le 23 juin 1863.
A Nice, dès le milieu des années 1860, "Félix Busino, photographe" apparaît tout d'abord en tant qu'élève et assistant de Charles Nègre. Le recensement de la Ville de Nice de 1866 le dit âgé de 18 ans, et vivant, comme Charles Nègre, au 6, rue Saint-Etienne.
De rares cartons photographiques portent au revers, à l'encre rouge : "Spécialité d'Agrandissements - Portraits de toutes dimensions - en noir et en couleur - F. Busin - Élève de Mr Chles Nègre - Inventeur de la Photo-Héliographie" mais sans nom de ville, sans adresse ni date.
- BUSIN Félix (vers 1847-1927), Portrait de groupe, recto, fin des années 1860 ou début des années 1870 (?),
tirage albuminé de 9,9x6 cm sur carton de 10,5x6,3 cm, Collection personnelle.
- BUSIN Félix (vers 1847-1927), Portrait de groupe, verso, fin des années 1860 ou début des années 1870 (?),
inscriptions, "SPÉCIALITÉ D'AGRANDISSEMENTS (texte convexe). -
Portraits de toutes dimensions, - en noir et en couleur. - F. BUSIN, -
ÉLÈVE DE Mr CH.LES NÈGRE - Inventeur de la Photo-Héliographie - -
N°. - Les clichés étant conservés, il suffit d'envoyer - le N° de la Carte
si on désire de nouvelles - épreuves sans reposer".
carton de 10,5x6,3 cm, Collection personnelle.
DRAGUIGNAN
Sa famille quitte Nice pour Draguignan (Var), probablement dans les années 1870.
Félix Busin quitte également Nice et ouvre, vers 1874-1875, un atelier à Draguignan. Ses cartons de l'époque portent au verso, sous le blason de la Ville de Draguignan, "Félix Busin - Photographe - Draguignan - (Var)" (deux cartons datés de 1876 dont l'un d'avril, n° 588).
Vers 1877, il s'associe pour quelques années (jusqu'en 1881 ?) avec son frère aîné Louis (Le Phare du Littoral du 20 juillet 1882).
Giuseppe Luigi Rosalindo Busino est né à Drap le 9 février 1844. Il est cité comme "photographe" à Nice entre 1865 et 1867 (en tant que témoin de trois mariages, en 1865, 1866 et en 1867, ce dernier mariage étant celui du photographe Jules Giral).
Sa famille quitte Nice pour Draguignan (Var), probablement dans les années 1870.
Félix Busin quitte également Nice et ouvre, vers 1874-1875, un atelier à Draguignan. Ses cartons de l'époque portent au verso, sous le blason de la Ville de Draguignan, "Félix Busin - Photographe - Draguignan - (Var)" (deux cartons datés de 1876 dont l'un d'avril, n° 588).
Vers 1877, il s'associe pour quelques années (jusqu'en 1881 ?) avec son frère aîné Louis (Le Phare du Littoral du 20 juillet 1882).
Giuseppe Luigi Rosalindo Busino est né à Drap le 9 février 1844. Il est cité comme "photographe" à Nice entre 1865 et 1867 (en tant que témoin de trois mariages, en 1865, 1866 et en 1867, ce dernier mariage étant celui du photographe Jules Giral).
Louis Busin conservera seul l'atelier de Draguignan par la suite (récompensé au Concours Régional de Draguignan de 1882, Mention honorable ; Exposition de 1889) jusqu'au début du XX° siècle (un carton daté de 1914). Il sera secondé par son frère cadet Jean Baptiste Louis Busin (Nice 1863-Nice 1949) dès 1906 (après que ce dernier ait cessé sa vie religieuse).
Le recensement de 1911 de la Ville de Draguignan signale (années de naissance erronées) au 6, boulevard de la Liberté, d’une part leur mère Christine Busin (83 ans environ) avec son fils Jean Baptiste Busin (47 ans environ), et d’autre part, Louis Busin, photographe (âgé de 63 ans), son épouse Virginie (Virginie Louise Marie Benoch ou Bonoch, née à Marseille vers 1852, 59 ans environ) et leur fille Blanche, 21 ans (née le 7 avril 1890 à Draguignan).
Lors du mariage de Blanche Busin à Nice, le 22 septembre 1914, avec Pierre Marius Calviera, musicien (né à Nice le 19 avril 1894), Louis Busin (70 ans) est encore dit « photographe ». Le recensement de la Ville de Draguignan de 1921 ne mentionne plus que Virginie Busin et sa fille Blanche, épouse Calviera, au 6, boulevard Foch. Louis Busin est donc probablement décédé à Draguignan entre 1914 et 1921 (actes non consultables).
Les cartons-photos des années 1877-1882 portent désormais au verso, "Spécialité d'Agrandissements - Reproductions en tous genres - En noir et en couleurs - Blason de la Ville de Draguignan - Busin Frères - Photographes - 6, Boulevard de la Liberté, 6, - Draguignan - (Var)".
- BUSIN Félix (vers 1847-1927), Portrait de jeune garçon, recto, vers 1876,
inscriptions, "Fix BUSIN -- PHOT.",
tirage albuminé de 8,8x5,4 cm sur carton de 10,5x6,3 cm, Collection personnelle.
- BUSIN Félix (vers 1847-1927), Portrait d'e jeune garçon, verso, vers 1876,
inscriptions, "sous les armoiries de la ville de Draguignan, les inscriptions suivantes sur un phylactère : FÉLIX BUSIN - PHOTOGRAPHE - DRAGUIGNAN - (VAR) - N° 858",
carton de 10,5x6,3 cm, Collection personnelle.
- BUSIN FRÈRES (Félix vers 1847-1927, Louis vers 1844- après 1914), Portrait de femme âgée (médaillon), recto, vers 1879-1881 (?),
inscriptions, "BUSIN FRÈRES -- DRAGUIGNAN",
tirage albuminé de 8,9x5,5 cm sur carton de 10,5x6,4 cm, Collection personnelle.
- BUSIN FRÈRES (Félix vers 1847-1927, Louis vers 1844- après 1914), Portrait de femme âgée, verso, vers 1879-1881 (?),
inscriptions, "Spécialité d'Agrandissements - Reproductions en tous genres - En noir et en couleurs - Blason de la Ville de Draguignan - Busin Frères - Photographes - 6, Boulevard de la Liberté, 6, - Draguignan - (Var) - - N° 2067",
carton de 10,5x6,4 cm, Collection personnelle.
NICE
En 1876, Félix Busin ouvre également un atelier à Nice, au 9, quai Masséna, y succédant au photographe Ferdinand Chardonnet.
Ses cartons affichent au revers son tampon oblique : "Félix Busin - Quai Masséna .9. - Nice".
Il change, en 1877, pour le n° 22 de la même rue (laissant le n° 9 à Federico Castellani).
Son atelier n'apparaît pas dans les annuaires (annuaires niçois de 1878 puis de 1880 à 1882 absents).
Félix Busin est cependant cité pour ses dons à une souscription en septembre 1881 (Le Phare du Littoral des 9 et 16 septembre 1881) puis dans une publicité du journal Nice Artistique et Industriel de novembre 1881 à juillet 1882 : "Félix Busin - Photographe - 22, rue Masséna et rue du Temple, 5, à l’entresol - Spécialité d’agrandissements de toutes dimensions et Instantanéité pour enfants - Nice".
Il est également mentionné dans les journaux à l'occasion d'un début d'incendie dans son atelier de la rue du Temple, au deuxième étage.
Il est cité ensuite dans l'annuaire niçois de 1883 (Collection privée Didier Gayraud) puis dans les annuaires de 1884 à 1888 au, 22 rue Masséna mais les cartons-photos de cette période regroupent les deux adresses, avec désormais le n° 15 pour la rue du Temple (où est cependant signalé, "Buzin (sic), G., photographe", dans l'annuaire de 1884). Absent semble-t-il du recensement de la Ville de Nice de 1881, il est signalé en 1886 comme âgé de 38 ans et vivant seul au 18, rue Masséna (résidence). Les listes électorales de la Ville de Nice citent son domicile au 22, rue Masséna, jusqu’en 1888.
Les différents revers de ses cartons niçois sont ensuite les suivants (1878-1888) :
- carton à fond blanc ou beige, "Spécialité d’agrandissements (texte convexe) - Poses instantanées - Reproductions en tous genres - (et en oblique et en rouge sur fond blanc) Félix Busin (signature) - 22, rue Masséna & 15 rue du Temple - Nice." (vers 1882-1883),
- carton au verso à fond blanc ou noir avec, "Félix Busin - Photographe - Nice - 22, Rue Masséna - - 15, Rue du Temple,
- carton à fond noir, avec au recto, "F. Busin, -- Nice" et un verso nu,
- carton à fond noir, avec au recto, "22, Rue Masséna - FB - Rue du Temple, 15." et au verso, "Fx Busin - Instantanéitées pour Enfants - [sur une palette de peintre] Spécialités d'Agrandissements - Nice - 22, Rue Masséna & Rue du Temple, 15.".
Il est cité dans la « Liste générale des principaux photographes » niçois publiée par la Société de Photographie de Toulouse, de 1888 à 1896.
- BUSIN Félix (vers 1847-1927), Portrait d'homme (médaillon), vers 1876-1877,
tirage albuminé de 9x5,5 cm sur carton de 9,7x6,3 cm, Collection personnelle.
- BUSIN Félix (vers 1847-1927), Portrait d'homme (médaillon), verso, vers 1876-1877,
"Félix Busin - Quai Masséna, 9. - Nice.",
carton de 9,7x6,3 cm, Collection personnelle.
- BUSIN Félix (vers 1847-1927), Portrait de Pétronille Angélique Bessi, recto, vers 1878-1882 (?),
Carte de visite au bord et cadre rouge découpés,
Archives Départementales des Alpes-Maritimes, Archives privées, dossier 251J0002.
- BUSIN Félix (vers 1847-1927), Portrait de Pétronille Angélique Bessi, verso, vers 1878-1882 (?),
Carte de visite portant les mentions imprimées suivantes, "Spécialité d’agrandissements - Poses instantanées - Reproductions en tous genres - Félix Busin - 22, rue Masséna & 15 rue du Temple - Nice.",
et les mentions manuscrites, "Pétronille Angélique Bessi",
[Angélique Marie Pétronille Bessi est née au port de Nice le 29 juin 1860. Elle est la fille de Denis Bessi (né en 1831) et d'Anne Marie Ardisson (née en 1835). Angélique Marie Pétronille Bessi se mariera à Nice le 29 avril 1885, avec Paul Joseph Philippe Thaon, ce qui confirme la datation de la photographie où elle apparaît encore avec son nom de jeune fille],
Archives Départementales des Alpes-Maritimes, Archives privées, dossier 251J0002.
- BUSIN Félix (vers 1847-1927), Portrait de femme (médaillon), vers 1883-1888,
"FÉLIX BUSIN -- NICE",
tirage albuminé de 9x5,5 cm sur carton de 9,7x6,3 cm, Collection personnelle.
- BUSIN Félix (vers 1847-1927), Portrait de famille en plein air, vers 1883-1888,
"FÉLIX BUSIN -- NICE",
tirage albuminé de 14,8x9,8 sur carton de 16,5x10,7 cm, Collection personnelle.
A partir de 1891, le revers de ses cartons-photos affichent, sous les armoiries de l'Angleterre, suite à la venue de la Reine Victoria à Grasse (du 25 mars au 28 avril 1891, au Grand Hôtel, justement) :
- Federico CASTELLANI (1848-1889) "FÉLIX BUSIN -- NICE",
tirage albuminé de 9x5,5 cm sur carton de 9,7x6,3 cm, Collection personnelle.
- BUSIN Félix (vers 1847-1927), Portrait de femme (médaillon), verso, vers 1883-1888,
"Félix Busin - Photographe - NICE - 22, Rue Masséna -- 15, Rue du Temple",
carton de 9,7x6,3 cm, Collection personnelle.
- BUSIN Félix (vers 1847-1927), Portrait de communiant, recto, vers 1883-1888,
"Félix Busin -- Nice.",
tirage de 9x5,4 cm sur carton de 10,4x6,2 cm, Collection personnelle.
- BUSIN Félix (vers 1847-1927), Portrait de communiant, verso, vers 1883-1888,
"Félix Busin - Photographe - NICE - 22, Rue Masséna -- 15, Rue du Temple",
carton de 10,4x6,2 cm, Collection personnelle.
"FÉLIX BUSIN -- NICE",
tirage albuminé de 14,8x9,8 sur carton de 16,5x10,7 cm, Collection personnelle.
- BUSIN Félix (vers 1847-1927), Portrait de famille en plein air, verso, vers 1883-1888,
"Félix Busin - Photographe - NICE - 22, Rue Masséna -- 15, Rue du Temple",
carton de 16,5x10,7 cm, Collection personnelle.
GRASSE
Félix Busin quitte cependant Nice pour Grasse vers 1887-1888 (observation portée dans la liste électorale de la Ville de Nice de 1888) et s'installe route de Vence, près du Grand Hôtel.
Il réalise notamment des photographies lors de l'inauguration du canal du Foulon (Le Petit Marseillais du 4 août 1889 p 2).
Domicilié à Grasse, il se marie à 43 ans, à Marseille le 23 septembre 1890, avec Laure Amélie Jupin, 37 ans (née le 20 juin 1853 à La Flèche, Sarthe, domiciliée à Marseille).
A partir de 1891, le revers de ses cartons-photos affichent, sous les armoiries de l'Angleterre, suite à la venue de la Reine Victoria à Grasse (du 25 mars au 28 avril 1891, au Grand Hôtel, justement) :
- "Félix Busin - Photographe Fournisseur Breveté - de S.M. La Reine d'Angleterre - Avenue Victoria [anciennement route de Vence] - près le Grand Hôtel - Grasse - Alpes-Maritimes",
- puis, à partir de 1898, "Félix Busin - Photographe Fournisseur Breveté - de S.M. La Reine d'Angleterre - Avenue Thiers [anciennement Avenue Victoria] - Grasse - Alpes-Maritimes"
L'annuaire de Grasse de 1899 précise d'ailleurs, "Busin Félix, fournisseur de S.M. la Reine d'Angleterre, avenue Thiers [anciennement avenue Victoria], près le Grand-Hôtel, portraits, vues, agrandissements inaltérables, etc. - English Spoken".
Il cède, en 1911, son atelier grassois [alors 14, avenue Thiers] à son assistant Victor Guizol et semble aller vivre à Vallauris (Alpes-Maritimes).
Félix Paul Busin, domicilié à Vallauris, décède à Nice à l’âge de 79 ans, le 20 avril 1927 au 87, route de Levens (asile).
Federico Castellani est né en 1848 à San Giorgio di Lomellina (près de Pavie, Italie).
ALESSANDRIA
Ce photographe italien est actif à Alessandria (Piémont) dès 1867, à l'âge de 19 ans (publicité de 1869 parue dans l'Observatore di Allessandria). Il y est rejoint par son père Luigi Castellani (1822-1890) qui l'assiste.
Son adresse semble être, tour à tour :
- 32 (vers 1867-1868) puis 22, via Vescovado (1 carton daté de 1868),
- au début des années 1870 (avant 1873), 5, via del Corso
- du milieu des années 1870 (1875 ?) à la fin des années 1880, 35, corso Roma
- et enfin, en 1889, via Trotti, 8 (Annuario d'Italia amministrativo-commerciale, 1889).
Il obtient une médaille d'argent à l'Exposition d'Alessandria en 1870.
Ce photographe italien est actif à Alessandria (Piémont) dès 1867, à l'âge de 19 ans (publicité de 1869 parue dans l'Observatore di Allessandria). Il y est rejoint par son père Luigi Castellani (1822-1890) qui l'assiste.
Son adresse semble être, tour à tour :
- 32 (vers 1867-1868) puis 22, via Vescovado (1 carton daté de 1868),
- au début des années 1870 (avant 1873), 5, via del Corso
- du milieu des années 1870 (1875 ?) à la fin des années 1880, 35, corso Roma
- et enfin, en 1889, via Trotti, 8 (Annuario d'Italia amministrativo-commerciale, 1889).
Il obtient une médaille d'argent à l'Exposition d'Alessandria en 1870.
Il ouvre, dès le début des années 1870, une succursale à Vercelli (Piémont), 1, via del Duomo où il édite, en 1873, un album composé de 23 vues de la ville (Album delle principali vedute edifizi e monumenti della citta di Vercelli). En 1873, il participe également à l'Exposition Universelle de Vienne où il présente une série de portraits.
Federico Castellani obtient une nouvelle médaille à l'Exposition de Pavia en 1877.
Federico Castellani obtient une nouvelle médaille à l'Exposition de Pavia en 1877.
NICE
"Castellani Frédéric, 28 ans, photographe, domicilié à Alexandrie (Italie)" est cité à Nice le 28 mars 1877, comme témoin de naissance de la fille d'amis italiens.
En septembre 1877, il ouvre un nouvel atelier à Nice au 9, quai Masséna, où il succède à Félix Busin.
- Annonce de l’ouverture de l’atelier niçois de Federico Castellani
parue dans Le Phare du Littoral du 27 septembre 1877.
Un seul annuaire niçois cite son atelier en 1879 (annuaires de 1880-1882 absents) au 9, quai Masséna.
Si le Guide paru en 1883, Nice en Poche, du Dr Rouget, le cite à la même adresse, il est cependant absent de l'annuaire de 1883 (Collection privée Didier Gayraud). Il semble donc quitter Nice vers 1882.
Au revers de ses cartons-photos des années 1868-1870, à fond blanc ou parfois rose, le texte est :
- sous les armoiries d'Alessandria, "[Studio Fotografico] - Castellani - [In] - Alessandria" (un carton daté de 1869),
- sous les armoiries d'Alessandria et d'Italie, "Studio Fotografico - F. Castellani - Via Vescovado, 22 - Alessandria" (un carton daté de 1868).
Le revers des cartons-photos des années 1870, à fond blanc puis jaune (un carton daté d'octobre 1876), s'additionne de la présence de la médaille d'Alessandria et de la mention de la succursale de Vercelli : "armoiries d'Alessandria - Esposizione 1870 - Studio Fotografico - recto et verso de la médaille des Arts de l'Accademia Artistica Raffaello di Urbino - F. Castellani - Alessandria - Corso Roma [N° 35] - Vercelli - Via Duomo [Casa Pasta ]".
Le recto de certains formats cabinet du début des années 1870 affiche : "Stabilimento - Alessandria - 5, via del Corso,5 - armoiries d'Alessandria - F. Castellani - Vercelli - 1, via del Duomo".
A partir de 1877, Federico Castellani semble utiliser des cartons spécifiques pour Alessandria et Vercelli avec des armoiries et mentions semblables mais également les deux médailles obtenues à Alessandria (1870) et Pavia (1877) puis, dès la fin des années 1870 ou le tout début des années 1880 (vers 1878-1882), la mention de "Fotografo di S.M.".
Les cartons mentionnant Nice (vers 1877-1882) portent au verso entre ses deux médailles et les armoiries d'Alessandria :
- "F. Castellani - Photographe - Alessandria, Corso Roma, 35 - Vercelli, Via del Duomo, 1 - Nice, 9, Quai Massena, 9"
- ou "Federico Castellani - Alessandria, Corso Roma, 35 - Nice - Quai Massena N° 9 - Vercelli - Via del Duomo - N° 1".
De nombreux portraits colorisés d'acteurs ou de personnages déguisés des années 1870 semblent des autoportraits ; certains d'entre eux semblent dater des années 1873-1878, d'autres affichent, "Carnavale 1879 Alessandria" et mentionnent les villes de Nice, Alessandria et Vercelli.
Le verso des cartons italiens des années 1880 (à fond blanc puis noir) précisent, entre les armoiries d'Italie, de Monaco et les deux médailles d'Alessandria et Pavia, qu'il est le "Fotografo - Di S.M. Il Re d'Italia" et "Di S.A.S Il Principe di Monaco" puis "Cavaliere della Corona d'Italia", photographe ("brevettato") de S.M. le Roi d'Italie (Umberto I, qui règne de 1878 à 1900) et de S.A.S. le Prince de Monaco (Charles III, qui règne de 1856 à 1889) et précisent parfois, "Socio corrispondente dell'Academia Raffaello in Urbino - Socio onorario dell'Istituto delle Belle Art delle marche - e di molte altre academie - Premiato con medaglie d'Argento a tutte le Esposizioni".
En 1888, il réalise un album de vues de Tortona (Fotografi Ritrattisti nel Piemonte dell' 800, 1980 p 204).
Federico Castellani meurt à Alessandria le 22 juillet 1889 (il était marié et avait un fils) mais ses ateliers d'Alessandria (via Piacenza, casa Pedemonte) et de Vercelli (via del Duomo n° 1) semblent perdurer jusqu'en 1900.
Le verso des cartons italiens des années 1880 (à fond blanc puis noir) précisent, entre les armoiries d'Italie, de Monaco et les deux médailles d'Alessandria et Pavia, qu'il est le "Fotografo - Di S.M. Il Re d'Italia" et "Di S.A.S Il Principe di Monaco" puis "Cavaliere della Corona d'Italia", photographe ("brevettato") de S.M. le Roi d'Italie (Umberto I, qui règne de 1878 à 1900) et de S.A.S. le Prince de Monaco (Charles III, qui règne de 1856 à 1889) et précisent parfois, "Socio corrispondente dell'Academia Raffaello in Urbino - Socio onorario dell'Istituto delle Belle Art delle marche - e di molte altre academie - Premiato con medaglie d'Argento a tutte le Esposizioni".
En 1888, il réalise un album de vues de Tortona (Fotografi Ritrattisti nel Piemonte dell' 800, 1980 p 204).
Federico Castellani meurt à Alessandria le 22 juillet 1889 (il était marié et avait un fils) mais ses ateliers d'Alessandria (via Piacenza, casa Pedemonte) et de Vercelli (via del Duomo n° 1) semblent perdurer jusqu'en 1900.
- CASTELLANI Federico (1848-1889), Portrait de religieux, médaillon aquarellé, vers 1877-1882 (?),
inscriptions au recto, "F. CASTELLANI -- FC-- NICE",
tirage albuminé de 9,8x6 cm sur carton de 10,5x6,3 cm, Collection personnelle.
- CASTELLANI Federico (1848-1889), Portrait de religieux, vers 1877-1882 (?),
inscriptions au verso, "Armoiries d'Alessandria - Médailles d'Alessandria 1870 et de Pavia 1877 -
F. CASTELLANI - Photographe - ALESSANDRIA - Corso Roma, 35 - VERCELLI - Via del Duomo, 1 - NICE - 9, Quai Masséna, 9",
carton de 10,5x6,3 cm, Collection personnelle.