SOMMAIRE DES ARTICLES DU BLOG ET LIENS DIRECTS
UN ARTICLE ÉCRIT EN COLLABORATION AVEC
NATHALIE PASQUIER (Responsable de la médiathèque d’Ainay-le-Château, Allier) (3, 7)
ET HERVÉ LESTANG (site, Quatre mille visages de la Photographie - Portrait Sépia) (5)
PAUL MÉTÉNIER (1829-1909), PHOTOGRAPHE
Naissance et enfance à Hérisson (Allier) (1829-1844)
"Gilbert" Méténier est né le 17 juin 1829, au lieu-dit Chenillet, dans la commune d’Hérisson (Allier). Il l’un des sept enfants de Pierre Méténier (Meaulne, Allier, 6 janvier 1799 - Hérisson, Allier, 8 mars 1836), propriétaire cultivateur, et d’Antoinette Bignon (Montluçon, Allier, 28 janvier 1799 – Hérisson, Allier, 5 septembre 1844) qui se sont mariés à Hérisson, le 20 janvier 1818.
Sabotier entre Cher et Allier (vers 1844-1859)
Gilbert Méténier devient orphelin à 15 ans et entame la profession de sabotier, probablement itinérant, aux confins des départements de l’Allier et du Cher.
Le 1er octobre 1850, "Hyppolite" (sic) Méténier, sabotier, âgé de 21 ans, domicilié à Charenton (Cher), se marie à Ainay-le-Château (Allier), avec (Marie) Irma Dumas, lingère, âgée de 17 ans (née à Ainay-le-Château le 1er avril 1833).
Le couple va avoir trois enfants : Marie Francine Méténier (dite parfois "Françoise"), qui va naître à Saint-Amand (Saint-Amand-Montrond, Cher), le 6 juillet 1851 ; Paul, à Ainay-le-Château, le 19 juillet 1853 mais qui va malheureusement décéder à 22 mois, le 17 mai 1855 à Dun-le-Roi (Dun-sur-Auron, Cher) ; Ferdinand Méténier, à Dun-le-Roi, le 4 janvier 1857 mais qui va décéder à 6 mois, le 14 juillet de la même année.
Entre ces deux dernières dates, Irma, l’épouse du photographe va également décéder, à 24 ans, à Dun-le-Roi, le 14 mai 1857.
Désormais seul avec sa fille Francine de 6 ans, "Gilbert" Méténier, 28 ans, sabotier, domicilié à Dun-le-Roi depuis le début ou le milieu des années 1850, se remarie à Ainay-le-Château (Allier), dès le 2 septembre 1857, avec Céline Madeleine Lorro (ou Lor(r)eau), 19 ans, modiste (ou lingère) (née à Lurcy-Lévy, Allier, le 18 octobre 1837).
Son épouse souhaite accoucher auprès de ses parents. Leur 1er enfant, Raphaël Méténier naît donc à Ainay-le-Château, le 10 octobre 1858. L’acte de naissance cite cette fois, "Paul" Méténier, 29 ans, sabotier, domicilié à Dun-le-Roi.
Il faut préciser que le parrain de Gilbert Méténier s’appelait "Gilbert Paul" et qu’il est probable que c’est là l’origine des prénoms qu’il va désormais afficher : "Paul", "Paul Gilbert", "Gilbert" ou, plus rarement, "Hyppolite" ( ?).
Malheureusement, leur fils Raphaël meurt à l’âge d’une semaine, à Ainay-le-Château, le 17 octobre 1858.
Photographe entre Paris, Cher, Allier et Vienne (1859-1870)
L’année suivante, c’est leur second enfant, Paul Michel Méténier, qui naît à Ainay-le-Château, le 4 décembre 1859.
"Paul Gilbert" Méténier, 30 ans, est cité dans l’acte de naissance, avec un domicile à Ainay-le-Château [et toujours à Dun-le-Roi] mais la nouvelle profession de "photographe".
Douze jours auparavant, il se disait encore "sabotier", en tant que témoin d’une naissance, ce qui peut laisser penser qu’il pratique les deux professions depuis quelques temps mais en affiche une seule des deux.
Est-ce lui qui est d’ailleurs cité de passage dans la ville de Poitiers (Vienne) en septembre 1859 : "Méténier, artiste peintre, professeur de photographie de Paris" (Le Journal de la Vienne du 19 septembre 1859) ?
À partir de décembre 1859, il n’affichera plus désormais que la profession de "photographe", avec une vie itinérante proche de celle de sa profession précédente (d'où son absence de nombreux recensements), rayonnant probablement depuis Dun-le-Roi et Ainay-le-Château, où il doit officier également.
Aucune de ses photographies (portraits) réalisées au tournant des années 1860 ne semble cependant conservée.
En 1860, "Gilbert Méténier, dit Paul, âgé de 30 ans, photographe" est signalé, "demeurant à Bourges, place Notre-Dame" (Le Journal du Cher du 16 février 1860).
Bien des années plus tard, il affichera, au verso de ses cartons-photos, une médaille obtenue en 1860 à l’Exposition de Reims (Marne) ; cette Exposition industrielle, agricole et artistique, sur laquelle peu de renseignements ont pu être recueillis, semble s’être tenue du 15 août au 15 octobre 1860 (?).
Le registre d’état civil de 1861 d’Ainay-le-Château signale ensuite que la famille Méténier réside alors à Gannat (Allier).
Le recensement d’Ainay-le-Château effectué au printemps de la même année, signale uniquement la présence des enfants : Paul Méténier, 16 mois (Paul Michel), chez ses grands-parents maternels (Grande Rue) et Francine Méténier (10 ans), en pension chez des religieuses (rue de la Tour).
Cependant, les recensements des villes de Gannat (Allier) et de Dun-le-Roi (Cher), lors de ce même printemps 1861, ne citent ni Paul Méténier ni son épouse.
Paul Méténier semble ensuite ouvrir un atelier à Vichy (Allier), probablement lors des premières cures estivales de Napoléon III, en 1861 (après Gannat ?) ou 1862.
Paul Méténier est encore dit, "photographe, domicilié à Dun-le-Roi", lorsque son fils, Paul Michel Méténier, décède à l’âge de 2 ans et 4 mois, le 1er avril 1862, à Ainay-le-Château.
Cependant, il est ensuite dit, "photographe, domicilié à Vichy". lorsqu’il déclare la naissance de son fils, Paul Méténier, à Ainay-le-Château, le 7 février 1863.
C’est à Vichy, place de la Marine, que naît sa fille, Marie Louise Méténier, le 12 septembre 1864. Ces dernières dates laissent penser que son atelier vichyssois n’est peut-être pas seulement ouvert pendant la saison thermale (du 15 mai au 31 octobre) mais toute l’année, même si aucun nom d’employé ou d’assistant n’est connu.
Paul Méténier a en effet ouvert, au plus tard l’été 1863, une succursale supplémentaire dans la ville de Montluçon (Allier), boulevard de la Mairie, 17, avec une entrée rue des Forges, 6 (Le Courrier de l’Allier des 30 août et 15 novembre 1863). Ses cartons-photos affichent, "17, Boulevard de la Mairie, 17" (partie actuelle du boulevard de Courtais).
Sa fille, Marie Louise Méténier, décède malheureusement à 1 an, le 16 septembre 1865, à Ainay-le-Château.
En décembre 1865, dans une publicité que le photographe fait paraître à Montluçon à l’approche des étrennes, il précise qu’il possède des "Succursales à Paris et à Vichy" mais sans préciser depuis quand (Le Courrier de l’Allier, supplément du 6 décembre 1865).
La mention de la capitale évoque la petite annonce parue à Poitiers en 1859. Paul Méténier s’est probablement formé à Paris puis a exercé dans le Cher et l’Allier, avant d’ouvrir un atelier parisien dont de rares cartons-photos conservent l’adresse : "Palais-Royal - Entrée par la rue Beaujolais N° 5 - (à Côté des Frères Provencaux) (sic) [célèbre restaurant du quartier du Palais-Royal, galerie Beaujolais, 1er arrondissement] - Paris - Succursale à Vichy, - Boulevart Napoléon, 12".
Lors du recensement du printemps 1866, Paul Méténier (37 ans) est cité dans celui de Vichy, au 6, boulevard Napoléon, avec son épouse Céline (28 ans), sa fille Francine (14 ans) et son fils Paul (3 ans), et quelques semaines plus tard, dans celui de Montluçon, en présence de sa belle-sœur, Marie (15 ans).
Cependant, son fils, Paul Méténier, décède à l’âge de 4 ans, le 7 février 1867, à Montluçon. De ses sept enfants, seule la fille de son premier mariage, Marie Francine Méténier, a survécu.
Paul Méténier conserve l’atelier de Montluçon jusqu’au 24 mars 1867, date à laquelle il vend tout son mobilier et quitte la ville (Le Courrier de l’Allier du 17 mars 1867).
Il semble ensuite abandonner son atelier parisien vers 1869 ou 1870.
Il conserve cependant son atelier de Vichy, avec des cartons-photos qui affichent plusieurs adresses successives, situées dans le même quartier et indiquant peut-être le même emplacement (près des nouveaux parcs en bord d’Allier et les premiers chalets de Napoléon III) :
"Place de la Marine, 12" (vers 1861/62-1865) ; "Boulevart Napoléon, 6" (recensement de 1866) puis "Boulevart Napoléon, 12" et "Rue Sévigné, Quai des Célestins, Boulevart Napoléon N° 12" (vers 1867-1870).
Les cartes de visite conservées de cette période (portraits) affichent la seule adresse de Montluçon, la seule adresse de Vichy, ou encore, l’adresse de Paris suivie de celle de Vichy (sans celle de Montluçon, soit probablement après mars 1867).
Une seule vue de Vichy semble conservée (Source des Célestins) mais prouve l’activité de paysagiste de Paul Méténier. Cette carte de visite est probablement la trace d’une série conséquente sur la ville et ses environs, plusieurs fois renouvelée (il déposera en janvier 1875, deux autres vues de la ville : Le Casino et L'Eglise Saint-Louis) (2).
Photographe entre Allier, Alpes-Maritimes et Cher (1870-1889)
Paul Méténier ouvre ensuite une succursale dans les Alpes-Maritimes), afin d’alterner les hivers à Cannes et les étés à Vichy. Plusieurs indices impliquent la date de 1870 :
- Paul Méténier succède à l’atelier cannois du photographe Emile Messy que ce dernier cède cette année-là
- cette succursale cannoise n’est pas citée au verso des cartons-photos qui affichent son atelier parisien (stoppé en 1869 ou 1870)
- les cartons-photos présentent, dans un premier temps, le nom des deux seules villes de Vichy et de Cannes, sous les armoiries du Second-Empire et la médaille recto-verso à l'effigie de Napoléon III : "Métenier - Photographe - Rue Sévigné - Quai des Célestins - Boulevart Napoléon N° 12 - Vichy-les-Bains - & À Cannes - Rue d'Antibes, 41".
L'atelier cannois possède tout à la fois une entrée rue d’Antibes, 41 et rue Bivouac, 5 et ces adresses sont alternativement citées dans les publicités que Paul Méténier fait paraître dans le Courrier de Cannes de novembre 1871 à juin 1872 puis dans les Echos de Cannes, de novembre 1873 à janvier 1874.
le Courrier de Cannes de novembre 1871 à juin 1872 avec l'adresse du 5, rue Bivouac
puis, dans les Echos de Cannes de novembre 1873 à janvier 1874, avec l'adresse du 41, rue d'Antibes (Archives municipales de Cannes).
Le Guide des Alpes-Maritimes et de la Principauté de
Monaco de D. Boistier de 1874 signale ensuite, dans la liste des
photographes cannois, "Métenier (P.), rue d’Antibes, 41".
Peu de cartons-photos cannois, immédiatement postérieurs à la chute du Second-Empire, semblent conservés. Les armoiries du Second Empire et la médaille de l’Empereur Napoléon III y ont été remplacées par le blason de la ville de Paris et une médaille de l’Académie Impériale de Reims. Ils affichent : "Rue Sévigné, Quai des Célestins, Boulevart Napoléon N° 12 - Vichy-Les-Bains - & A Cannes - Rue d'Antibes, 41" (vers 1871-1875).
Paul Méténier ouvre ensuite, vers 1875-1876, une nouvelle succursale à Nice (Alpes-Maritimes). Cette dernière est d’abord citée rue Alberti, 7, puis boulevard du Pont-Neuf, 28 (annuaire niçois de 1877) et enfin, boulevard du Pont-Neuf, 26 (annuaires niçois de 1879, 1883 et 1884 ; ceux de 1876, 1878, 1880-1882 n’étant pas conservés).
Vers 1878, il ouvre également une succursale à Menton, rue Victor-Emmanuel, 19 bis (ou 19) qui apparaît notamment dans l'annuaire de 1884.
Ses cartons-photos qui affichaient les trois adresses de
Vichy, Cannes et Nice, s’additionnent désormais de celle de Menton.
Paul Méténier n’a pas d’employé connu assurant la continuité de ces différents ateliers mais il est possible qu’il ne consacre que certains jours de la semaine à chacun d’eux, se déplaçant en train d’une ville à l’autre.
"Métenier Paul" est uniquement cité dans le recensement de la Ville de Nice de fin 1881, "âgé de 54 ans [52 ans], Photographe", à son domicile du boulevard du Pont-Neuf, 12, avec son épouse, "Méténier Céline, 30 ans [44 ans], Peintre [!]".
Vers 1884, Paul Méténier semble définitivement quitter ses
ateliers méditerranéens.
Il a ouvert cependant une nouvelle succursale à Saint-Amand (Saint-Amand-Montrond, Cher), où sa fille Francine, mariée depuis 1871, vit désormais avec son mari (un cousin de sa belle-mère).
La date d’ouverture de cette succursale est difficile
à préciser mais semble avoir lieu vers 1883 ou 1884 (les registres de
recensements de Saint-Amand des années 1872, 1876, 1881, 1886 et 1896 ne sont
pas conservés).
Ses cartons-photos à fond noir de ces années-là, affichent : "Méténier - Photographe - Rue Sévigné, 12. - Vichy-Les-Bains - Cannes
- Rue d'Antibes, 41. - Nice - Boulevard du Pont-Neuf, 26. - St. Amand (Cher) -
Rue Benjamin Constant, 10.".
Dans cette liste, la succursale de Menton semble avoir été remplacée par celle de Saint-Amand. Deux hypothèses sont alors envisageables :
- soit la succursale de Saint-Amand a été ouverte vers 1883, en remplacement de celle de Menton (cette dernière apparaissant par erreur dans l’annuaire de 1884),
- soit Paul Méténier affiche, vers 1884, des succursales qu’il ne possède plus ; la succursale de Cannes reste d’ailleurs peu attestée après 1874 (en dehors d’une carte de visite datée d’août 1878).
Dès le début de l’année 1885, Paul Méténier confie cette
succursale de Saint-Amand au photographe Georges Arloing, 22 ans (Vichy,
Allier, 26 septembre 1862 – Vichy, Allier, 19 juin 1943) (5). Ce dernier est
ensuite également cité à Vichy dans le recensement du printemps 1886, à
l’adresse de ses parents (rue de Paris).
Le 28 septembre 1886, "Georges Arloing, âgé de 24
ans, photographe, demeurant à Saint-Amand (Cher)", dispensé de
service militaire, épouse à Sancoins (Cher), une cousine de la femme de Paul
Méténier, "Marguerite Adèle Wuatrin, âgée de 17 an, sans
profession" (née à Ainay-le-Château, Allier, le 9 avril 1869).
C’est probablement à cette date que Paul Méténier s’associe
avec Georges Arloing.
Les cartons-photos portent, dès lors, leurs deux noms : "Photographie Artistique - Armoiries de la Ville de Paris - médaille de l'Académie Impériale de Reims 1860 - Méténier & Arloing - Photographes de Paris - Vichy - Succursale à Saint-Amand".
Lors de ses séjours à Ainay-le-Château, Paul Méténier a résidé dans la Grande Rue, tout d’abord chez ses beaux-parents Dumas (dès 1850) puis ses beaux-parents Lor(r)eau
(dès 1857). Il a ensuite loué, au plus tard en 1865, un appartement situé
aux Récollets, dans la maison du tailleur de pierre, Jean-Baptiste Tisserand
(adresse citée en 1865 et 1878).
En 1885, il acquiert cependant deux maisons dans cette ville
(parcelles 480 et 744) dont l’une, située Grande Rue, conserve encore ses
initiales sur le fronton sculpté d’une baie de façade.
En 1889, Paul Méténier prend sa retraite, à l’âge de 60 ans
et continue probablement d’alterner sa présence, pendant plusieurs années, entre Saint-Amand-Montrond et
Ainay-le-Château.
Georges Arloing devient alors le successeur de son atelier
de Vichy mais également le gérant de l’atelier de Saint-Amand-Montrond, qu’il
ne semble cependant conserver que peu de temps.
Paul Métenier est cité, dans la "Liste générale des
principaux photographes" publiée par la Société de Photographie de
Toulouse (1876-1905). à Vichy, de 1879 à 1896 mais n’est pas cité à Cannes,
Nice, Menton ou Saint-Amand.
Son épouse Céline, décède à Saint-Amand-Montrond, le 27 mars
1897, âgée de 59 ans.
Paul Méténier décède dans cette même commune, rue Nationale,
le 26 février 1909, à l’âge de 80 ans (rentier
et veuf, il avait été déjà recensé en 1906, au n° 30 de cette rue).
Les témoins de son acte de décès sont Désiré Loreau, son gendre, 63 ans, propriétaire, et Charles Bick, 38 ans, photographe (5), l’un des successeurs de l’ancienne Maison Méténier de Saint-Amand-Montrond dont l’atelier est justement situé rue Nationale.
Les ateliers de Paul Méténier (photographe actif de 1859 à 1889)
Dun-le-Roi/Dun-sur-Auron, Cher, vers 1859-1862 (?).
Ainay-le-Château, Allier, vers 1859-? (atelier intermittent ?) : Grande Rue, vers 1859-1865 ; Les Récollets, 1865-1885 ; Grande Rue, 1885-1889.
Poitiers, Vienne, vers septembre 1859 (atelier temporaire) :
Bourges, Cher, vers février 1860 (atelier temporaire) : place Notre-Dame.
Gannat, Allier, 1861 (atelier temporaire).
Vichy, Allier, vers 1861/63-1889 : place de la Marine, 12, vers 1861/63-1865 ; boulevart Napoléon N° 6, vers 1866 ; boulevart Napoléon, N° 12, vers 1867-1870 ; rue Sévigné, quai des Célestins, boulevart Napoléon, N° 12, vers 1867-1870 ; rue Sévigné, 12, vers 1871-1886/89.
Paris, Seine, vers 1865-1869/70 : Palais-Royal, Entrée par la rue Beaujolais N° 5 (à Côté des Frères Provencaux).
Cannes, Alpes-Maritimes, vers 1870-1884 (?) : rue Bivouac, 5 et rue d'Antibes, 41.
Nice, Alpes-Maritimes, vers 1875/76-1884 : rue Alberti, 7, vers 1875-1876 ; boulevard du Pont Neuf, 28, vers 1876-1878 ; boulevard du Pont Neuf, 26, vers 1878-1884.
Menton, Alpes-Maritimes, vers 1878-1883/84 : rue Victor Emmanuel, 19 (ou 19 bis).
Saint-Amand-Montrond, Cher, vers 1883-1889 : rue Benjamin Constant, 10, vers 1883-1884 ; rue Nationale (?), vers 1885-1889.
BIBLIOGRAPHIE ET SITOGRAPHIE SOMMAIRES
1- VOIGNIER Jean-Marie, Répertoire des Photographes
de France au dix-neuvième siècle, Le Pont de Pierre, 1993 (p 181).
2- CHAMBRIARD Pascal, "L'apparition de la photographie
touristique de Vichy (1863-1885), dans, Bulletin de la Société
d'Emulation du Bourbonnais, T 75, septembre 2011, pp. 458-495 (pp 481-482).
3- PASQUIER Nathalie et RICHARD Patrick, Exposition, "Le Village en noir et blanc", médiathèque d’Ainay-le-Château, 2018.
4- CARADEC Marie-Anne, PAILLET Antoine, CHASSAING
Jean-François, Nouvelles Images : les débuts de la Photographie dans
l'Allier, Loubatières Editeur, 2012.
5- LESTANG Hervé, Quatre mille visages de la Photographie, Portrait Sépia : Paul Méténier ; Georges Arloing ; Charles Bick.
6- BOISJOLY François, Répertoire des photographes
parisiens du XIXe siècle, Evergreen, 2009.
7- REIGNEAUD Valéry, "Aline et les Argenteurs – L’histoire locale en noir et blanc", dans, Terre de Bourbons, n° 26, août 2022, pp 53-63 (p 59).
