SOMMAIRE DES ARTICLES DU BLOG ET LIENS DIRECTS
1- TOUZERY Jean (1824-1881), Photographie de la classe de Seconde 1869-70,
recto, tirage albuminé de 9,1x5,5 cm, sur carton recoupé de 9,7x6,3 cm, Collection personnelle
G. TOUZERY
PHOTOGRAPHIE DE LA CLASSE DE SECONDE (1869-70)
DU PETIT-SÉMINAIRE DE LA CHAPELLE-SAINT-MESMIN (PRÈS D'ORLÉANS)
LE PHOTOGRAPHE
Celle carte de visite présente une photographie de classe qui date des premiers temps de la photographie scolaire. Elle a été prise par, "Touzery, Phot. - GT - Orléans", comme le révèlent les inscriptions portées sur son côté gauche (Image 1).
Le photographe Jean Touzery est né le 14 septembre 1838 à Lacalm (Aveyron). Il est le fils de Jean Pierre Touzery, cultivateur et de Marie Bouniol (mariés dans cette commune le 7 février 1829).
Ses deux sœurs se marient à Paris, Françoise (1830-1883), en 1849 avec Gustave Cosson (1824-1896), peintre et photographe et Marie (1835- ?), en 1861 avec Henri Schmidt, bijoutier (1831- ?).
Jean Touzery se forme probablement à la photographie, à la fin des années 1850, dans l’atelier de son beau-frère, Gustave Cosson, Photographie Gustave au Mans, d’où le pseudonyme qu’il se choisit, "Touzery - dit - Gustave Jeune", avec pour monogramme "GT". C’est à Orléans, au début des années 1860, qu’il ouvre son propre atelier.
Le recensement de 1866 le signale sous le prénom de Joseph, en tant que "photographe", vivant au 2, faubourg Bannier, avec sa sœur Marie, son beau-frère Henri Schmidt, désormais photographe lui aussi, et leur fils Camille.
Jean Touzery semble donc s’être déplacé au Petit-Séminaire de La Chapelle pour réaliser des photos de classe pendant l’année scolaire 1869-70. Il réalise par ailleurs des vues des bâtiments du Petit-Séminaire mais également, dans son atelier, des portraits individuels des religieux et des élèves.
Il se marie à Orléans, le 8 septembre 1874, avec Julie Blanche Joséphine Pierre (1851- ?) et déménage à cette occasion ses domicile et atelier, boulevard du Chemin de fer, 80 (appelé ensuite boulevard Alexandre Martin).
Le couple va avoir trois enfants. Deux d’entre eux vont malheureusement décéder dans les jours qui suivent le décès de leur père, le 30 septembre 1881, à l’âge de 43 ans, boulevard Alexandre Martin, 80 : Jean Arthur (1875- ?), Louise Blanche Marguerite (1876-1881) et Georges Henri (1878-1881).
LA CLASSE ET L’ÉTABLISSEMENT
Le verso de la carte de visite aurait dû afficher l’adresse du photographe sous les armoiries du Second Empire, "G. Touzery - Place Bannier - Orléans", mais il est entièrement recouvert par une fine feuille collée.
Cette dernière porte un texte manuscrit avec le titre, "Photographie de la classe de Seconde 1869-70", et précise le nom et la place de chacune des 36 personnes photographiées (Image 2).
2- TOUZERY Jean (1824-1881), Photographie de la classe de Seconde 1869-70, verso,
tirage albuminé de 9,1x5,5 cm, sur carton recoupé de 9,7x6,3 cm, Collection personnelle.
La seule indication manquante est celle de l’établissement concerné. Les élèves posent-ils avec leur aumônier dans la cour d’honneur du Lycée Impérial, situé rue Jeanne d’Arc à Orléans ?
Non car le nom de l’aumônier potentiel, indiqué au verso de la carte de visite, "Me Robichon", ne correspond pas à l’un de ceux qui officient à cette date au Lycée Impérial.
Une recherche ciblée sur ce nom a permis d’identifier l’abbé Robichon en tant que professeur ("Me" pour "Maître") de l’Ecole secondaire ecclésiastique du Petit-Séminaire, établie par ordonnance royale du 1er avril 1844 dans la commune de La Chapelle-Saint-Mesmin (à environ 7 km à l’ouest d’Orléans).
3- La cour d'honneur de La Chapelle-Saint-Mesmin, 1907,
Carte postale ancienne, Collection personnelle.
L’ABBÉ
L’abbé Robichon semble-être né à Orléans. Les prénoms sous lesquels il est cité dans les documents, "Pierre-Jean", "Amable" puis "Pierre-Amable", n’ont pas permis de l’identifier d’emblée. En effet, ce nom de famille est très répandu dans la ville et aucun acte de naissance ne comporte ces trois prénoms.
Il s’agit cependant de "Pierre Jacques Aimable", né le 10 août 1834, deuxième et dernier enfant de "Pierre Robichon, jardinier, 35 ans [40 ans] demeurant faubourg Marceau, quartier du Moulin, n° 84, et de Marie Françoise Gallinant, 36 ans [32 ans]" qui se sont mariés à Orléans le 3 novembre 1827 (Archives Départementales du Loiret, registres d’Etat civil).
Il faut donc convenir que Robichon a préféré le prénom "Jean" à celui de "Jacques" et la forme, plus proche du latin, du prénom "Amable" à celle "d’Aimable".
Il fait ses études au Petit-Séminaire de la Chapelle-Saint-Mesmin et a notamment comme professeur l’abbé Alphonse Brague (1821-1884).
Se destinant à la prêtrise, il est ensuite élève (clerc) au Grand-Séminaire d’Orléans où il devient bachelier en Théologie. Il est ordonné prêtre à 23 ans, le 19 décembre 1857 et est cité comme sous-diacre en 1862 (L’Ami de la Religion et du Roi, 1856 p 556 ; Mgr Dupanloup, Œuvres Choisies – T IV - Etudes ecclésiastiques, 1862 p 400).
Peut-être dès 1858, et au plus tard en 1861, il devient professeur au Petit-Séminaire de La Chapelle-Saint-Mesmin où il est en charge d’une classe de Quatrième, de Troisième puis, dès 1864, de Seconde (Annales religieuses et littéraires de la ville et du diocèse d’Orléans, 1864-1870, listes des noms des professeurs et élèves publiées à l’occasion de la remise des prix de chaque fin d’année ; HathiTrust Research Center).
Lors de l’année scolaire 1869-70, alors que l’évêque d’Orléans est Mgr Félix Dupanloup (1802-1878), que l’abbé Albert Hetsch (1812-1876) est le supérieur du Petit-Séminaire de La Chapelle et que l’abbé Charles Godefroy (1826-1897) en est le directeur, l’abbé Robichon est en charge, avec l’abbé Joseph Justinien Dulouart (1833-apr.1892), de la classe de Seconde étudiée.
4- TOUZERY Jean (1824-1881), Photographie de la classe de Seconde 1869-70, recto, détail de l'Abbé Robichon,
tirage albuminé de 9,1x5,5 cm, sur carton recoupé de 9,7x6,3 cm, Collection personnelle.
L’année scolaire suivante, malgré l’invasion prussienne, les combats menés sur le territoire et l’occupation d’Orléans dès octobre, les cours sont maintenus au Petit-Séminaire.
Une partie des abbés se voit renouvelée en 1871, l’abbé Hetsch étant nommé vicaire général d’Orléans résidant à l’Evêché, et l’abbé Godefroy, curé de Malesherbes (Loiret).
L’abbé Robichon est pour sa part nommé curé de Mézières, au doyenné de Clery (Loiret) où il va officier pendant neuf ans (Annales religieuses, op. cit., du 1er avril 1871 p 15).
Au printemps 1880, "Amable Robichon" est ensuite nommé curé-doyen de Gien (Loiret). La même année, il devient chanoine honoraire de la cathédrale d’Orléans et archiprêtre puis, en 1883, camérier secret de sa Sainteté (Annales religieuses, op. cit., du 6 juin 1880 pp 354, du 26 juin 1880 p 402, du 17 juillet 1880 pp 460-462 et du 21 juillet 1883).
Le curé Robichon est de nombreuses fois cité dans son doyenné de Gien au cours des années 1880 et 1890 mais ses prénoms, rarement précisés, sont désormais, "Pierre-Amable" (Ordo Divini Officii, ad usum Diocesis Aurelianensis, 1882 p 140 ; Allocution prononcée le 19 août 1890 par Mgr Robichon à l’église Saint-Louis de Gien).
En juin 1896, un procès retentissant oppose Mgr Robichon et d’autres prêtres au maire de la commune, pour avoir bravé l’arrêté du 1er juin 1882 interdisant les processions religieuses (ils sont condamnés à 3 francs d’amende).
Mgr Robichon meurt à Gien en août 1914, à l’âge de 80 ans et est inhumé, le 22 de ce mois, dans le cimetière communal (sa sépulture D-3937 doit prochainement disparaître).
5- TOUZERY Jean (1824-1881), Photographie de la classe de Seconde 1869-70, recto,
tirage albuminé de 9,1x5,5 cm, sur carton recoupé de 9,7x6,3 cm, Collection personnelle.
LES ÉLÈVES
Le nom des abbés Robichon et Dulouart et celui de tous leurs élèves de Seconde se retrouvent cités à l’occasion de la cérémonie de remise des prix du 25 juillet 1870, quelques jours après la déclaration de guerre de la France à la Prusse (Annales religieuses, op. cit., du 31 juillet 1870 p 878) (Image 6).
Annales religieuses et littéraires de la ville et du diocèse d’Orléans du 31 juillet 1870,
HathiTrust Research Center.
Si les 35 élèves reçoivent entre 1 et 15 prix, cette liste imprimée présente cependant quelques différences avec la liste manuscrite collée au verso de la photographie (Image 2).
Elle cite deux nouveaux élèves, Emilien Bauchet et Maxime Puvet, qui semblent avoir remplacé J. Darblay et A. Rivet, partis en cours d’année. Il est cependant possible que "Puvet" et "Rivet" soient la même personne, le nom ayant été mal retranscrit.
La liste imprimée présente d’ailleurs parfois le choix d'un autre prénom ou d'une orthographe différente du nom mais affiche en entier le prénom de chacun des élèves (facilitant les recherches généalogiques).
Sur la photographie, les élèves posent dans la cour d'honneur de leur établissement, sur une zone de pelouse placée au-devant d’un grand mur précédé de deux larges et courts piliers. Ces derniers sont couronnés d’une simple imposte qui reçoit les arcades plein cintre de la galerie du cloître (Image 3).
Il y a une certaine mise en scène du groupe, avec l’installation latérale et symétrique de deux guéridons (de taille différente) et de deux arbustes en pot.
Les 35 élèves sont étagés sur quatre rangs : sur le devant, 7 sont assis sur des chaises près de petites tables circulaires (guéridons recouverts d’une nappe) et accostent leur professeur ; 19 élèves debout forment les deuxième et troisième rangs, les plus grands à l’arrière, et enfin 9 de leurs camarades semblent perchés sur des chaises, au dernier rang.
La liste des noms présente au verso ne reflète pas totalement la disposition, comme si elle concernait une autre prise de vue du même groupe. Quatre élèves sont notamment assis sur la gauche de l’image alors que trois seulement sont cités à cet emplacement.
L’abbé Robichon (35 ans), reconnaissable à son habit religieux (soutane à col à rabat gris) et à sa position centrale, est assis au premier rang, strictement de face et tient un livre (saint ou scolaire) des deux mains. Il est présent au milieu des élèves, tout en conservant une certaine distance physique (Image 4).
Les élèves, cheveux courts (tous imberbes sauf un) et tête nue, portent la tenue règlementaire composée d’un pantalon (plus ou moins foncé), un gilet, une chemise claire (blanche ?) au col (plus ou moins pointu) pourvu d’une cravate ou d’un nœud papillon et une redingote sombre.
Ils se présentent avec les épaules et le visage de face ou de trois-quarts et adoptent une pose détendue, se tenant la main sur la hanche, pliant un bras devant leur poitrine ou posant la main sur l’épaule de leur voisin ; ceux qui sont assis, croisent les jambes et posent une main sur leur genou ou sur un livre.
Les prix de la classe de Rhétorique (équivalente à une classe de Première) puis de la classe de Philosophie (équivalente à une classe de Terminale), sont respectivement remis aux 9 élèves de cette classe qui ont continué à suivre les cours du Petit-Séminaire de La Chapelle, les 31 juillet 1871 (mais la liste n’est pas publiée) et 29 juillet 1872 (Image 7), (Annales religieuses, op. cit., des 5 août 1871 et 3 août 1872 p 490).
Léon Gaillard, Arthur Léveille et Abel Chenon ont par ailleurs obtenu, le 1er août 1872, leur Baccalauréat-ès-Lettres à la Faculté de Paris (Annales religieuses, op. cit., du 3 août 1872 p 478).
Une première recherche a permis d’identifier 25 des élèves photographiés en classe de Seconde (sur 36) et les principales dates de leur vie. Beaucoup n’ont pas encore pu être identifiés, le plus souvent du fait de l’existence de deux ou trois personnes portant les mêmes nom et prénom et nées dans la même période.
Quoique encore très incomplète, cette recherche permet de dégager les premiers enseignements suivants.
Les élèves sont nés entre 1850 et 1856 et ont donc entre 19 et 13 ans à la date de leur entrée en classe de Seconde. Le plus grand nombre est né en 1852 ou 1853 et a 17 ou 16 ans.
Presque tous sont originaires d’Orléans ou du Loiret (internes). Quelques-uns sont nés dans le Cher et sont encore domiciliés dans ce département pendant leur scolarité.
Leurs familles semblent être de toutes conditions sociales (père domestique, sabotier, officier de santé, négociant, propriétaire, Conseiller général, marquis…). Cependant, plusieurs élèves ont déjà perdu leur père en 1869.
Une douzaine de ces élèves seront, en 1876 et 1877, ordonnés prêtres et plusieurs d’entre eux seront professeurs (à Orléans, Pithiviers et Ferrières). Alexandre Janvier deviendra ainsi, à son tour, professeur de la classe de Seconde au Petit-Séminaire de La Chapelle.
Léon Gaillard sera ordonné prêtre le 26 mai 1877 puis nommé, le 30 novembre 1880, vicaire à Gien, auprès de son ancien professeur l’abbé Robichon, devenu curé-doyen.
Émile Anizan, le deuxième élève assis au premier rang à gauche (Image 5), âgé de 16 ou 17 ans, a déjà posé pour Jean Touzery mais cette fois dans l'atelier du photographe, le 18 mai 1866, à l'âge de 13 ans (portrait conservé et daté). Il sera ordonné prêtre le 22 décembre 1877 (à 24 ans). Il fondera, en 1914, la Congrégation des Fils de la Charité, à Paris.
Les autres exerceront des professions variées (instituteur, pharmacien, médecin, avocat, conservateur…) et se marieront, le plus souvent entre leurs 25 et 30 ans.
Ils décéderont entre l’âge de 26 ans (1882) et de 87 ans (1939), dans le département du Loiret, pour la plupart, et quelques-uns à Paris.
ANIZAN Emile (Jean) (né à Artenay, Loiret, le 6 janvier 1853 ; prêtre catholique ordonné le 22 décembre 1877, vicaire d’Olivet, frère de Saint-Vincent-de-Paul, à Paris de 1887 à 1914 puis fondateur des Fils de la Charité - décédé le 1er mai 1928 à Paris, 11ème, à 75 ans) ;
BAUCHET : voir à BOUCHET ;
BAUDRY Alphonse (né le 11 mai 1850 - lieu inconnu, ordonné prêtre le 17 juin 1873, nommé à La Selle-sur-le Bied, Loiret - date et lieu de décès inconnus) ;
BELLABRE : voir à DE BELLABRE ;
BELLANGÉ/BELLANGER Ludovic ou Louis (Marie) (né le 5 octobre 1853 - lieu inconnu, bachelier en Théologie, ordonné prêtre le 10 juin 1876, vicaire de Beaugency, Loiret - date et lieu de décès inconnus) ;
BENOIST Jules (né le 16 avril 1853 – lieu inconnu, ordonné prêtre le 10 juin 1876, professeur à l’Ecole Saint-Grégoire de Pithiviers, Loiret - date et lieu de décès inconnus) ;
BERNOIS Constant (Armand) (né à Crottes-en-Pithiverais, Loiret, le 9 mars 1853, ordonné prêtre le 10 juin 1876, professeur à l’Ecole Notre-Dame de Ferrières-en Gâtinais ; date et lieu de décès inconnus) ;
BILLAULT/BILLAUT Auguste : non identifié ;
BLONDEL Jean Augustin : non identifié ;
BOISBOURDIN Henri (né à Orléans, Loiret en le 25 avril 1853, ordonné prêtre le 10 juin 1876, nommé vicaire de Neuville en 1880 - décédé à Orléans à 34 ans) ;
BOUCHERON Paul : non identifié ;
BOUCHET/BAUCHET E./Emilien (né le 30 juillet 1853, ordonné prêtre le 28 mai 1877, vicaire à Briare, Loiret - date et lieu de décès inconnus) ;
BOUDET Victor : non identifié ;
CHAIGNOT Henri (Antony) (né à Châteauneuf-sur-Loire, Loiret, le 21 septembre 1852, docteur en médecine - décédé à Orléans, Loiret, le 23 juin 1923, à 70 ans) ;
CHENON DE LECHE Abel (Frédéric Antonin Marie) (né à Bourges, Cher, le 23 janvier 1855, bachelier ès-Lettres le 1er août 1872, domicilié à Bourges, étudiant en Droit, marié vers 1889, 1 enfant - décédé à Berry-Bouy, Cher, le 5 août 1924, à 69 ans) ;
COLAS DES FRANCS Léon (Maurice Marie) (né à Orléans, Loiret, le 18 janvier 1856, marié à Orléans le 17 février 1886, docteur en Droit, 2 enfants - décédé à Mézières-lez-Cléry, Loiret, le 9 août 1939, à 82 ans) ;
DARBLAY J. : non identifié ;
DASCONAGUER(R)E Arthur : non identifié ;
DE BELLABRE René (né à Eymoutiers, Haute-Vienne le 19 octobre 1852 - décédé à Paris, célibataire, le 30 mars 1885, à 32 ans) ;
DESBARATS Maurice : non identifié ;
DES FRANCS : voir à COLAS ;
D’ORSANNE/DORSANNE René (né à Châteauneuf-sur-Loire, Loiret, le 16 août 1852, marié à Poitiers le 30 juillet 1884, 6 enfants nés entre 1885 et 1900, successivement à Guéret, Creuse, Blois, Loir-et-Cher, Le Mans, Sarthe - décédé à Orléans, Loiret, le 14 août 1939, à près de 87 ans) ;
DUMUYS/DUMUIS Léon (Marie Ythier Augustin) (né à Orléans, Loiret, le 21 octobre 1853 ; marié à Anais, Charente, le 4 octobre 1877, 6 enfants, conservateur et historien des musées d’Orléans dès 1880, archéologue, écrivain - décédé à Orléans le 20 février 1911, à 57 ans) ;
FRANCS : voir à COLAS
GAILLARD Léon (Paul) (né à Orléans, Loiret, le 8 novembre 1852, bachelier ès-Lettres le 1er août 1872, ordonné prêtre le 26 mai 1877, nommé vicaire de Gien - date et lieu de décès inconnus) ;
JANVIER Alexandre (né le 16 juillet 1851- lieu inconnu, licencié en Théologie, ordonné prêtre le 10 juin 1876, professeur au Petit-Séminaire de La Chapelle Saint-Mesmin - date et lieu de décès inconnus) ;
JANVIER Edmond (Augustin) (né à Aubigny-Ville [Aubigny-sur-Nère], Cher, le 14 avril 1852 ; ordonné prêtre le 26 mai 1877 - décédé à Orléans, Loiret, le 29 mars 1882, à près de 30 ans) ;
LAPORTE Eugène (né à Saint-Hilaire-les-Andrésis, Loiret, le 12 octobre 1852, marié à Montargis le 5 février 1877 - date de décès inconnue) ;
LEROUX Joseph : non identifié [peut-être, Marie Joseph Paul Alexis né à Orléans le 26 janvier 1855, marié à Tours le 25 juillet 1875, ingénieur des Ponts-et-Chaussées - fait chevalier puis officier de la Légion d'Honneur les 12 octobre 1893 et 25 avril 1919 - décédé après cette date, à Tours en 1921 ou 1922] ;
LÉVEILLE Arthur (Théodore) (né à Beaulieu-sur-Loire, Loiret, le 20 juillet 1853, bachelier ès-Lettres le 1er août 1872 ; instituteur, marié à Paris vers 1894, 2 enfants - date et lieu de décès inconnus) ;
MARTIN Emile (né à Orléans, Loiret, le 21 mars 1852, marié à Neuilly-sur-Seine, Hauts-de-Seine, le 8 novembre 1881, fabricant de dentelles, 1 enfant - décédé à Paris, 8ème, le 10 mai 1926, à 74 ans) ;
MENERON Narcisse : non identifié ;
ORSANNE : voir à D’ORSANNE ;
PASCAUD Fernand : non identifié ;
PÉTURET Maurice (Antoine) (né à Orléans, Loiret, le 12 septembre 1853 - décédé à Saint-Jean-le-Blanc, Loiret, le 19 juillet 1880, à 26 ans) ;
PUVET : voir RIVET ;
RENARD Louis (Molinet-sur-Solin, Loiret, le 4 avril 1853 – marié à Gien, Loiret, le 22 mars 1879, remarié à Gien, après veuvage, le 30 août 1893, 4 enfants - date de décès inconnue) ;
RIVET/PUVET Auguste ou/et Maxime (né le 11 janvier 1852 - lieu inconnu, ordonné prêtre le 10 juin 1876, vicaire à Saint-Aignan, Loir-et-Cher - date et lieu de décès inconnus) ;
ROGER G. et/ou Philibert (né le 24 décembre 1852 – lieu inconnu, ordonné prêtre le 10 juin 1876, nommé vicaire à Meung-sur-Loire, Loiret - date et lieu de décès inconnus) ;
SIMON Frédéric : non identifié ;
VALLET Jules (Joseph Marie) (né à Orléans, Loiret, le 4 décembre 1851, pharmacien à Aillant-sur-Tholon, Yonne, marié à Briare, Loiret, en 1878, puis remarié, après veuvage, à Toucy, Yonne, en 1882, 3 enfants - décédé à Aillant-sur-Tholon, le 31 janvier 1932).